On se connaît, on se croise, on s’échange des courriels, on se promet un souper quand on aura le temps, mais on a trop peu d’opportunités de s’asseoir et de discuter, notamment de notre métier, avec nos collègues. Les rencontres sectorielles visent à rassembler les différents corps de métier des arts vivants, le temps d’un moment, pour parler de certains sujets. Ces rencontres, organisées et animées par un·e ou plusieurs membres de la communauté en question, se veulent une opportunité de faire connaissance plus en profondeur, de faire la lumière sur des questions qu’on se pose tous·tes, de mettre en place des initiatives facilitatrices et de discuter à bâtons rompus d’enjeux qui nous habitent. Les rencontres auront lieu au café-bar du Théâtre Aux Écuries.
Cet événement est passé.
FLORE BAILLY
CAMILLE CHAVIGNER
Française d’origine, elle est arrivée à Montréal en 2013 dans le but de compléter son BFA à Concordia University. Là-bas, elle découvre une communauté culturelle qui lui fait questionner la place de l’artiste dans la gestion des entreprises artistiques. De ce fait, elle intègre plus tard la maîtrise en management des organismes culturels de HEC Montréal où elle découvre davantage le monde de l’art vivant. Conquise par sa collectivité active et son ample caractère humain, elle oriente ses intérêts professionnels et personnels vers ce nouvel univers qui s’ouvre à elle. Elle occupe le poste de responsable diffusion et développement au sein du Théâtre de la Pire Espèce depuis maintenant presque 3 ans et du collectif La Ruée vers l’or depuis plus d’un an.
Depuis 2005, la BIGICO est un diffuseur spécialisé qui soutient et orchestre le développement du mouvement de la gigue contemporaine. La BIGICO rassemble plusieurs visions chorégraphiques assurant la vitalité d’un mouvement en constante mutation. Une gigue d’art, constamment régénérée, sous l’emprise de la recherche, dans un vif esprit de modernisation. La BIGICO joue un rôle d’ambassadeur pour faire redécouvrir toute la richesse qui émane de ce fleuron de notre patrimoine. Cette langue des pieds nous appartient encore, une langue commune qui fait courir le bruit de sa pertinence dans la société québécoise d’aujourd’hui.