Les diffusions en présentiel sont annulées.

Par : Le Théâtre de la Pire Espèce

Durée : 1h (approximativement)

Pour : Tout public à partir de 9 ans

Horaires :

vendredi : 18h

samedi : 11h et 15h

Scolaire : matinée scolaire possible le 25 février à 10h00

(pour en savoir plus sur les tarifs scolaires)

Lieu: L'Arène

Cet événement est passé.

Entre deux mauvaises rencontres à l’école et les interventions d’une mère exaspérée, Léon mange des clous en cachette. Léon le nul, comme les autres enfants se plaisent à l’appeler, rêve de devenir un train, plus grand et plus puissant que tout le monde. Écrit par Francis Monty en 2001, Léon le nul est un texte fort qui dépeint la vie d’un petit garçon. À l’école, il est le souffre-douleur de ses camarades. À la maison, il cherche sa place entre sa mère, nerveuse et impatiente, et son frère Éthienne, grand vendeur de chocolat, bourré d’argent et sûr de lui. Pour s’en sortir, Léon veut devenir un train, dur et puissant. Alors il mange des clous, et attend que ses anniversaires transforment ses jambes en roues.

 

Entendu sur les ondes en 2003, publié chez Lansman (Belgique) en 2004, le texte a été porté une première fois à la scène en 2005 en coproduction avec le Théâtre Bouches Décousues, le Théâtre de la Pire Espèce et le Théâtre d’Aujourd’hui (Montréal, Québec). En 2017, Francis Monty réécrit le texte. Il y introduit un narrateur extérieur qui apporte une dimension comique et qui créé un lien complice entre le personnage de Léon et le public. Le nouveau texte a été présenté à l’occasion d’une tournée en France en 2019. 

Crédit photo : Mathieu Doyon

 

Crédits

Production : Théâtre de la Pire Espèce

Texte et mise en scène : Francis Monty

Interprétation : Éloi Archambaudoin ou Étienne Blanchette

Conception des éclairages : Thomas Godefroid

Costumes : Julie Vallée-Léger

Accompagnement dramaturgique: Jonathan Cusson

Assistance à la mise en scène : Martine Richard

Présents lors d’étapes de création : Olivier Ducas, Judith Guilloneau et Alexandre Leroux

Direction de production et technique : Camille Robillard

Le Théâtre de la Pire Espèce

Depuis 1999, le Théâtre de la Pire Espèce emprunte ses techniques à différentes disciplines telles que la marionnette, le théâtre d’objets, le clown, le cabaret et le théâtre de rue. La compagnie s’applique à développer, en explorant le processus de création, un art vivant, novateur et accessible. Contournant l’illusion théâtrale, elle souhaite établir un rapport direct avec le public, au profit d’une complicité avec le spectateur. Impertinent, festif et accidentellement érudit, son théâtre allie matériaux bruts et imagination débridée, foisonnement baroque et précision chirurgicale.

 

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La date à laquelle vous souhaitiez assister au spectacle est complète ? Inscrivez-vous à la liste d’attente disponible ici, nous vous contacterons si des places se libèrent. 

Par : Les Productions de L’Instable

Durée : Entre 1h et 1h30

Horaires : 20h00

Événement Facebook

Programme du spectacle

Lieu: L'Arène

Cet événement est passé.

« Lorsqu’on est jeunes et que l’on joue dans des modules de parcs, on s’invente des mondes. Avec PARC, on veut se permettre d’inventer des mondes sans les écrire à l’avance. »

 — Les Productions de L’Instable

           

PARC est un spectacle de conception d’espaces pensé pour stimuler les acteur·trice·s en contexte de théâtre d’improvisation. Inspirées par la notion d’acteur·trice-créateur·trice et souhaitant partager leur vision de la création théâtrale spontanée, les Productions de L’Instable revisitent la création collective et réalisent une réflexion sur l’espace et le jeu théâtral. 

Après un laboratoire de recherche mené en 2019 au Théâtre Aux Écuries, Frédéric Barbusci, metteur en scène et directeur artistique des Productions de L’Instable, et son équipe, continuent leurs explorations en théâtre d’improvisation. Avec une boîte à outils composée de 7 modules et une douzaine de praticables, les conceptrices Julie Basse (lumières) et Odile Gamache (espace) créeront, chaque soir de représentation, une scénographie originale et différente que les comédien·ne·s découvriront lorsqu’il·elle·s entreront en scène, et à partir de laquelle il·elle·s s’inventeront des mondes, des histoires et des personnages. Dans ce processus, la première réplique est donnée à la scénographie et les comédien·ne·s doivent se laisser guider par ce qu’il·elle·s ressentent. Pour bien recevoir cette scénographie, leurs cinq sens doivent être en alerte afin de réagir et de raconter ce qui les habite. De ce fait, chaque soir, les spectateur·trice·s seront emmené·e·s dans un nouvel espace créatif et assisteront à une représentation d’un ou de plusieurs tableaux de théâtre d’improvisation, toujours uniques et singuliers. 

« Le théâtre d’improvisation est un médium qui permet au comédien-créateur d’être en symbiose avec toutes les composantes de la production. En donnant la première réplique à la conception spatiale, nous désirons favoriser et magnifier le dialogue entre la scénographie, les éclairages, le public et les artistes. Avec seulement 30 heures de travail exploratoire, notre but est d’atteindre une sensibilité unique qui nous permettra de surpasser le tour de force que nous avons l’habitude de voir et de réellement laisser les réactions et les personnages guider les comédiens et comédiennes tout en se permettant de naviguer entre le grotesque et le sublime. » Frédéric Barbusci, directeur artistique des Productions de L’Instable  

 

L’objectif de PARC est de faire table rase des conventions actuelles en théâtre d’improvisation. Les Productions de L’Instable cherchent à élargir les possibilités de la narration en prenant l’espace proposé par les scénographes comme point de départ de la création. Ils testeront de nouveaux rythmes, de nouvelles écritures et pulsions créatives. PARC est le résultat de plusieurs années de recherches pour aboutir à une démarche unique en théâtre d’improvisation.

 

Crédits

Idéateur·trice·s : Frédéric Barbusci et Rachel Gamache

Mise en scène et direction artistique : Frédéric Barbusci

Mise en espace : Julie Basse, assistée de Joëlle Leblanc (lumières) et Odile Gamache (scénographie)

Conception musicale : Dominiq Hamel 

Distribution : Frédéric Barbusci,  Félix Beaulieu-Duchesneau, Anne-Marie Binette, Amélie Geoffroy , Dominiq Hamel, Cynthia Trudel

Production : Productions de L’Instable  

À propos

Fondées en 2011 par le comédien Frédéric Barbusci, les Productions de L’Instable ont pour mission de proposer de nouvelles structures de création et de nouveaux espaces pour le théâtre d’improvisation. La compagnie souhaite ainsi encourager la recherche dans sa discipline, favoriser l’exploration théâtrale et repousser les possibles de l’acteur-créateur. Depuis sa fondation, une cinquantaine de spectacles aux formes inusitées ont été produits à Montréal, soit en autoproduction dans des salles accueillant l’expérimentation artistique (Espace Libre, MTL Improv, Le Balcon, O Patro Vys, etc.), soit en codiffusion avec les plus grands festivals de la région (Francofolies, Festival de Jazz, Juste pour rire, etc.).

 

En 2018, Frédéric  Barbusci et Rachel Gamache s’allient aux conceptrices Julie Basse (lumières) et Odile Gamache (espace) afin de réfléchir aux façons de créer de nouveaux espaces, conçus et scénographiés expressément pour permettre d’explorer les possibilités de la performance théâtrale spontanée.

 

Les Productions de L’Instable ont également à coeur la promotion de leur mission. Depuis 2016, elles offrent des formations en jeu improvisé au grand public et en entreprises. De plus, elles vendent leurs spectacles et leurs formations à divers organismes culturels et aux écoles afin d’autofinancer ses activités de recherche et création. Nous proposons des démarches de création différentes en mettant l’accent sur l’exploration, sur les possibilités de l’interprétation théâtrale et en valorisation l’improvisation théâtrale comme outil de création. 

 

Depuis l’automne 2016, Frédéric Barbusci, dans son rôle de directeur artistique, rencontre les artisans du théâtre improvisé d’ici et d’ailleurs pour connaître leur approche de la discipline et discuter de leur vision artistique. Ces rencontres sont enregistrées sur le vif et diffusées sous forme de baladodiffusion (Pas d’impro, sur baladoquebec.ca, ITunes et Spotify). Elles regorgent d’informations sur les contextes et démarches de création actuelles en théâtre improvisé, de même que sur le travail et les motivations des comédiens et comédiennes qui se risquent sur les scènes du spontané.

 

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Presse

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Pour toute demande média et presse, merci de contacter Isabelle Bleau, relationniste de presse.
isabelle.bleau@bellnet.ca
Tel : 514 933-2523 / cell: 514 992-8319

Les diffusions en présentiel sont annulées.

Par : Le Théâtre de la Pire Espèce

Durée : 1h20 (approximativement)

Pour : Tout public à partir de 12 ans

Horaires :

mardi-mercredi-jeudi : 20h

vendredi : 20h30

Lieu: L'Arène

Cet événement est passé.

Éthienne ne peut pas (ou ne veut pas) s’expliquer ses origines de façon rationnelle. Sa famille est démesurée: comment sa mère a-t-elle pu enfanter, sans le secours des dieux, 57 enfants? Si laids! Si bêtes! Pourquoi est-il le seul à être doué de raison? Il s’agit là, sans contredit, d’un signe de l’au-delà. Mais surtout, il ne peut se satisfaire de ce père mou, à demi bovin. Il doit trouver une raison à ce châtiment. On a sûrement transformé ce père en vache pour une faute commise par un autre membre de la famille… Il doit savoir, il doit trouver une cause toute-puissante pour donner un sens à sa condamnation. Quitte à inventer l’origine de tous ces troubles.

À la manière d’un conte, ce spectacle développe en plusieurs tableaux la relation entre un fils et son père. Théâtre d’objets, ombres, dessins et musique en direct mettent en relief cette histoire abracadabrante.

 

Ce texte se veut un écho à Léon le nul, coproduit en 2005 avec le Théâtre Bouches Décousues. Éthienne, frère de Léon, personnage central de ce nouveau récit, transporte une autre vision de la famille. Si Léon tentait de s’affranchir de son lien de dépendance à l’égard de sa mère, Éthienne, petit bonhomme en papier carbone et à l’histoire sale, va plutôt tenter, lui, de se débarrasser de son père.

 

« On se régale de voir se matérialiser, grâce à quelques bouts de papier déchiré, cette histoire complètement débridée, servie par une ingéniosité et une dextérité dans la manipulation qui forcent l’admiration. Ce Petit bonhomme en papier carbone va certainement laisser des traces partout… » Michelle Channonat, reveujeu.org, avril 2014

Crédit photo : Eugène Holtz

 

Crédits

Production : Théâtre de la Pire Espèce

Texte et mise en scène : Francis Monty

Interprétation : Francis Monty

Musique originale et régie : Mathieu Doyon

Assistance à la mise en scène : Manon Claveau

Scénographie : Julie Vallée-Léger

Dessins : Francis Monty et Julie Vallée-Léger

Collaboration à la création : Étienne Blanchette

Conseil lumières : Thomas Godefroid

Codirection technique : Nicolas Fortin

Codirection technique : Clémence Doray

Direction de production : Camille Robillard

Le Théâtre de la Pire Espèce

Depuis 1999, le Théâtre de la Pire Espèce emprunte ses techniques à différentes disciplines telles que la marionnette, le théâtre d’objets, le clown, le cabaret et le théâtre de rue. La compagnie s’applique à développer, en explorant le processus de création, un art vivant, novateur et accessible. Contournant l’illusion théâtrale, elle souhaite établir un rapport direct avec le public, au profit d’une complicité avec le spectateur. Impertinent, festif et accidentellement érudit, son théâtre allie matériaux bruts et imagination débridée, foisonnement baroque et précision chirurgicale.

 

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Produit par : LA SERRE – arts vivants

Artiste : Amélie Dallaire

Horaire : 19h30 en virtuel 

Cet événement est passé.

Comment j’ai guéri à l’aide de PowerPoint est un témoignage/conférence d’une femme qui a découvert sa singularité lors d’une dépression. Elle nous raconte comment elle a apprivoisé le logiciel le plus connu au monde et la relation intime qu’elle a développée avec celui-ci pour apprivoiser ses idées noires. N’ayant la force au départ que de produire un point, celui-ci s’anime ensuite et se reproduit. En déclinant signes de ponctuation, polices de caractère et une panoplie de transitions, elle nous fait revivre son voyage initiatique où se sont révélés des intérêts insoupçonnés et une sensibilité oubliée.

 

Comment j’ai guéri à l’aide de PowerPoint sera présenté en webdiffusion dans le cadre de la 15e édition du OFFTA qui se tiendra entre le 28 mai et le 6 juin 2021.

 

Tout savoir sur la 15e édition du festival

 

LA SERRE – arts vivants

Parce qu’elle croit que l’art est essentiel pour lier l’individu à sa communauté, LA SERRE – arts vivants est un pôle de création qui provoque des rencontres et qui met à la disposition des artistes émergents des environnements favorables à la création d’œuvres significatives ainsi qu’à leur rayonnement.

LA SERRE est un incubateur structurant pour l’amélioration des conditions d’exercice des artistes émergents en arts vivants. Elle les accompagne dans le déploiement de leurs œuvres à partir de l’idéation jusqu’à leurs rencontres avec les publics. Elle aide l’artiste à développer son autonomie, sa maturité organisationnelle et son indépendance artistique. LA SERRE agit comme activateur de collaborations entre les artistes et les différents partenaires locaux, nationaux et internationaux ainsi qu’entre les artistes de différentes disciplines artistiques et d’autres secteurs d’activités. Artistiquement, LA SERRE privilégie des projets qui tissent des liens évocateurs entre les arts et la société et qui favorisent la rencontre entre les différents champs disciplinaires et sectoriels.
Le mandat de LA SERRE se déploie en trois axes d’activités :
– Artistes : soutien de projets en production déléguée
– Événements : conception et production d’événements dédiés à l’émergence
– Ateliers : espaces de recherche et de collaboration pour la communauté, développement des pratiques
Le OFFTA
Festival voué à la jeune création d’avant-garde en arts vivants.
Manifestation artistique annuelle créée en marge du Festival TransAmériques (FTA), le OFFTA est un festival voué à la jeune création d’avant-garde en arts vivants. Depuis 2007, il défriche tout au long de l’année le paysage artistique local afin de mettre de l’avant des créateurs dont la démarche guide les nouveaux courants en théâtre, danse et performance. Le OFFTA fonde son identité sur une direction artistique favorisant les démarches fortes et singulières, les pratiques émergentes et l’expérimentation.
Le OFFTA aspire à un décloisonnement des pratiques artistiques contemporaines et de leur public respectif. Dans cette vision transdisciplinaire, le OFFTA diffuse et produit des événements métissés, qui bousculent les pratiques établies des arts vivants et questionnent les modes de représentation, tout en favorisant la participation, le dialogue et la coopération.
Crédits - Comment j’ai guéri à l’aide de PowerPoint

Idéation, interprétation et texte : Amélie Dallaire

Visuel : Amélie Dallaire

Avec le soutien de : LA SERRE – arts vivants + L’Amicale (BE)

Résidences de création : Théâtre Aux Écuries

À propos d'Amélie Dallaire

Amélie Dallaire s’intéresse à ce qui est invisible, surnaturel et drôle. Depuis sa sortie du conservatoire d’art dramatique de Montréal, elle a écrit des courtes pièces mettant en scène des héroïnes particulières, témoignant de son affection pour le fantastique banal. Elle crée des personnages qui ne possèdent pas de bonnes aptitudes à exprimer leurs idées. Elle aime les silences, qui lui permettent d’exprimer une vérité peut-être plus grande que si elle écrivait beaucoup de mots.

Le spectacle dure 1h40 : vous sortirez des Écuries à 19h10. Merci de prendre en considération cet horaire pour vous rendre à votre domicile avant le couvre-feu dans les délais impartis. Le Théâtre Aux Écuries et la compagnie Pirata Théâtre ne sont pas responsables d’un non-respect du couvre-feu de votre part.

LISTE D’ATTENTE POUR ASSISTER AUX SUPPLÉMENTAIRES (vous serez contacté·e·s par la billetterie)

Par : Pirata Théâtre

Durée : 1h40

Pour : 16 ans et plus

Horaires :

jeudi-vendredi-samedi : 13h00 et 17h30

lundi-mardi-mercredi : 17h30

Événement Facebook

Le programme du spectacle

? En cas d’annulation du spectacle après achat de votre billet, nous procéderons à un remboursement intégral. Merci de votre compréhension. ?

Lieu: L'Arène

Cet événement est passé.

LISTE D’ATTENTE POUR ASSISTER AUX SUPPLÉMENTAIRES (vous serez contacté·e·s par la billetterie)

Pour la représentation du Jeudi 15 avril à 13h uniquement, ouverture de la billetterie mercredi 14 avril à 8h

 

Suite aux nouvelles mesures décrétées par la santé publique, les représentations de COMMENT ÉPOUSER UN MILLIARDAIRE se feront face à des jauges plus petites et à des horaires reportées plus tôt.

Le spectacle dure 1h40 : si vous venez à une représentation de 17h30, vous sortirez des Écuries entre 19h10 et 19h15. Merci de prendre en considération cet horaire pour vous rendre à votre domicile avant le couvre-feu dans les délais impartis. Le Théâtre Aux Écuries et la compagnie Pirata Théâtre ne sont pas responsables d’un non-respect du couvre-feu de votre part.

Si vous êtes détenteur·trice·s de billets, vous allez être contacté·e·s par notre responsable de la billetterie. Pour toute question, vous pouvez nous joindre à billetterie@auxecuries.com

Nouveaux horaires :

mardi 13 avril : 17h30

mercredi 14 avril : 17h30

jeudi 15 avril : 13h et 17h30

vendredi 16 avril : 13h et 17h30

samedi 17 avril : 13h et 17h30

lundi 19 avril : 17h30

mardi 20 avril : 17h30

mercredi 21 avril : 17h30

 

 

Ils étaient 470 en 2000, 1011 en 2010. Ils sont maintenant 2095, sur 7 milliards d’êtres humains. Et ils possèdent ensemble 7 fois le capital qui permettrait de mettre fin à la pauvreté dans le monde. 

Pour ceux qui doutent de la poésie des pages du  magazine Fortune et pour ceux qui la goûtent, pour ceux qui ont compris qu’il y a davantage de bénéfices à épouser un milliardaire plutôt qu’à travailler pour lui ou acheter ses produits, pour tous ceux-là, Michelle Parent détaille, lors de son enterrement de vie de jeune fille, la mécanique du monde mondialisé. Un one woman show économique sur la liste Forbes des milliardaires, sur les riches et sur les pauvres. 

Michelle Parent, comédienne de 37 ans, vous convie à son dernier tour de piste. 

Dans un spectacle d’adieu convivial et intimiste, elle met fin à sa carrière de comédienne pour épouser un milliardaire. Finie la précarité !

À quoi bon travailler quand une élite s’enrichit en faisant travailler les autres ? À quoi bon consacrer du temps à suer de labeur quand on peut crouler sous les cadeaux ? À quoi bon être simple consommatrice quand on peut acheter ses propres produits — et donc ne pas perdre d’argent ? Telles sont les questions plutôt légitimes que vous pose Michelle Parent, qui toutefois apporte une précision importante : passer la bague au doigt d’un ou d’une milliardaire demande du travail. C’est un poisson rare, qui requiert un hameçon bien spécifique. En spécialiste fine et altruiste, elle apporte toutes les clés pour séduire les plus grandes fortunes du monde à l’occasion de son enterrement de vie de jeune fille. 

Elle vous détaille la mécanique du capitalisme mondialisé, de l’explosion des inégalités et prodigue quelques conseils pour reconnaître les bons partis : De Lakshmi Mittal à Guy Laliberté en passant par Donald Trump, le premier président milliardaire, et par Kylie Jenner – 22 ans – plus jeune milliardaire de l’Histoire et par Jeff Bezoz le numéro mondial : aucun prospect potentiel  ne sera épargné. Ils étaient 470 en 2000, 1011 en 2010.

-« Comme dit mon futur mari, il faut prendre l’argent là où il est : chez les pauvres. Ils n’ont pas beaucoup d’argent, mais il y a beaucoup de pauvres… »

 

Crédits

Autrice : Audrey Vernon

Production :  Pirata Théâtre

Adaptation : Michelle Parent et Véronique Pascal

Mise en scène : Michelle Parent et Véronique Pascal

Assistance mise en scène et projections : Marie-Eve Archambault

Conception artistique : Michelle Parent, Véronique Pascal et Marie-Eve Archambault

Direction technique : Samuel Thériault

Lumières : Andréanne Deschênes

Scénographie et accessoires : Julie-Ange Breton

Régie : Marie-Frédérique Gravel et Pamela Dumas

Distribution : Michelle Parent

Biographies des artistes

MICHELLE PARENT (adaptation, co-mise en scène, interprète)

Michelle Parent se consacre au théâtre de création depuis une quinzaine d’années. Comédienne, metteure en scène et directrice artistique de Pirata Théâtre, elle développe depuis une décennie une écriture théâtrale pirate qui mélange les arts et le réel. Ses œuvres ont en commun de présenter des portraits de société : représentations poétiques de nos dérives, de nos enfermements, de nos espoirs. Elles parlent de notre système et de ce qu’il dépose en nous. Elles sont fabriquées de référents populaires, de culture pop, de matériaux issus du réel et d’artéfacts de notre rapport au monde. Ses créations singulières au sein de Pirata Théâtre ont marqué l’imaginaire. La Maison, présentée en 2011 à la Salle Fred-Barry avec des jeunes femmes en difficulté de l’organisme Passages, a remporté le prix de la pertinence sociale, le Noble Cochon, lors du Gala des Cochons d’Or. Elle porte depuis 2014, aux côtés d’Anne Sophie Rouleau, Album de finissants, qui rassemble des ados et des acteurs et qui fut présenté plus de 50 fois à travers la province avec plus de 300 ados. Les Bienheureux, présentée au Théâtre Aux Écuries avec des personnes recevant les services du Centre de réadaptation en dépendance, fut marquante et jouée à guichet fermé en 2016. Les spectacles de Pirata Théâtre ont été joués au Festival ZH, au Théâtre Denise-Pelletier, à Espace Libre, au Centre national des Arts, au Théâtre Périscope et au Théâtre Aux Écuries. Comme comédienne elle a joué au théâtre pour le Teesri Dunya Theater, Parabolik Guerilla, Camera Obscura. Et elle a porté le spectacle Album de finissants de 2012 à 2018 à travers la province.

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VÉRONIQUE PASCAL (co-mise en scène et adaptation) 

Depuis sa sortie du Conservatoire de Montréal, Véronique joue dans plus de 35 spectacles sur la scène professionnelle, et prend part à plusieurs courts et long-métrages, notamment Ce qu’il ne faut pas dire de Marquise Lepage (2015), et Dire de Geneviève Sauvé (sélection RVCQ 2017 – Short Corner, Cannes 2017, etc). Certains de ses textes sont publiés dans L’Agenda des Femmes 2015 (chez Remue-ménages), et dans le recueil Larguer les amours chez Tête Première (2017). Sa pièce La nuit, la vigie fût crée à la Maison Théâtre en janvier 2018 et publiée chez Dramaturge, et elle a incarné Mélanie dans Mélanie sans extasy (première création de la cie Le Choix de la Présidente), sur la scène du Théâtre Prospero, au printemps 2018 également. Co-créatrice de la compagnie LES COMPAGNONS BAROQUES avec Catherine Paquin Béchard, elle crée le projet La gardienne (2015 à 2017) et le laboratoire L’amour au 21e siècle (selon Wikihow), qui sera présenté dans sa version finale sur une scène montréalaise sous peu. Passionnée de comédie, elle fait partie de 2013 à 2017 du groupe Les femmelettes, où l’on explore l’humour au féminin, et reprend l’improvisation notamment avec la ligue des Cravates et avec le projet Stakiltour, après une immersion à Second City à Chicago.

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AUDREY VERNON (autrice de la version originale)

Après des études de Théâtre classique, Audrey Vernon est repérée par Dominique Farrugia qui l’engage pour une pastille en direct sur CANAL+ intitulée « La séance au choix ». En septembre 2005, CANAL+ lui confie un programme court, « Une minute quotidienne » sur CANAL+ décalé qui durera jusqu’en 2013. C’est en 2009, qu’elle commence à s’intéresser à l’économie et à écrire un « one woman-show économique » sur l’explosion des inégalités : Comment épouser un milliardaire, qui sera joué plus de 500 fois et durera 10 ans. En 2015 le texte est publié par FAYARD et traduit en 6 langues. Il est joué en Belgique, en Italie, en Corée et sera joué au Québec par Michelle Parent. Depuis avril 2019, il est interprété en France dans une version réactualisée par Giorgia Sinicorni qui reprend la tournée française dans une nouvelle mise en scène de Mikael Chirinian. En juillet 2012, Audrey crée au Festival d’Avignon Marx & Jenny, spectacle sur l’œuvre de Karl Marx et sa correspondance avec Engels, joué plus de 200 fois et toujours en tournée. En 2013 elle inaugure le théâtre de la Nouvelle Seine à Paris. En 2014 elle y crée un autre spectacle : Chagrin d’amour, autour du deuil et des ruptures amoureuses, mis en scène par Vincent Dedienne. En mai 2015, Audrey Vernon monte son nouveau spectacle Fukushima work in progres joué avec Xavier Mathieu à la demande de l’Avant Seine, théâtre de Colombes, mis en scène par Olivier Broda. A partir d’août 2016, elle présente «Le Billet d’Audrey Vernon» intitulé L’homme de ma vie… dans le Cinq-sept de France Inter autour de l’économie et des milliardaires, pendant 9 mois. En janvier 2018, elle écrit une lecture autour des textes d’écologie radicale jouée par 13 comédiens, à La Maison des Métallos, en collaboration avec Hervé Kempf et le site Reporterre. Cette lecture est depuis disponible à la reprise en open source et a été jouée par plusieurs troupes en France et à l’étranger. En mai 2019, elle crée un nouveau seul en scène, Billion dollar baby, lettre ouverte à mon bébé à naitre, présenté à Avignon et en tournée à partir de janvier 2020.

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MARIE-EVE ARCHAMBAULT (conception artistique)

Diplômée de L’École de danse contemporaine de Montréal en 2011, Marie-Eve Archambault danse depuis son plus jeune âge. C’est durant sa formation qu’elle découvre le métier de directrice des répétitions et décèlera rapidement en elle les prédispositions et l’intérêt nécessaires à ce métier. Elle occupera ce rôle dès les premiers projets professionnels auxquels elle participe, que ce soit pour la danse ou pour le théâtre (La Grande Fente – Isabelle Boulanger, Geneviève Carron-Ferron, Audrey Rochette, Mille Chevaux Vapeurs – Hugo Dalfond & Joanie Roy, Mathieu Hébert) s’intéressant particulièrement à la justesse de l’interprétation, à l’éloquence du corps en mouvement, à la précision musicale ainsi qu’à l’accompagnement du créateur et de l’interprète, du processus créatif à la représentation. Son parcours la mènera éventuellement à travailler plutôt dans le milieu théâtral en assistance à la mise en scène et à la dramaturgie, à la direction des répétitions ainsi qu’à l’accompagnement chorégraphique (Les Bienheureux – Pirata Théâtre, Album de finissants – Pirata Théâtre & Matériaux Composites, Home Dépôt : un musée du périssable – Matériaux Composites, L’amour au XXIe siècle selon  Wikipédia – All In Théâtre, Le clone est triste – Théâtre du Futur) et également à titre de chorégraphe (Amsterdam – Maison Corbeau, Le Scriptarium – Théâtre Le Clou, Clotaire Rapaille L’opéra rock – Théâtre du futur). Au fil des années, elle se spécialise dans la direction et la formation de « non-danseur·euse·s » et/ou « non-comédien·ne·s » dans le cadre de créations, productions et représentations professionnelles.

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SAMUEL THÉRIAULT (direction technique et projections)

Depuis maintenant plus de 15 ans, Samuel Thériault œuvre professionnellement dans le milieu du spectacle, principalement en danse et pour des événements corporatifs. Il concentre son travail sur la direction technique et la vidéo. Il a dirigé en tant que directeur technique autant pour la création que pour la tournée de multiples projets qui ont été présentés au Canada et à l’international. La variété de ses compétences lui permette de collaborer sur des projets de spectacles scéniques, des performances in situ, ainsi que des installations permanentes, muséales et théâtrales.

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JULIE ANGE BRETON (scénographie et accessoires)

Diplômée en 2008 en scénographie à l’UQAM, Julie-Ange Breton a conçu les décors et les accessoires pour une quinzaine de productions théâtrales dont Dominion et La guerre du Théâtre de la pacotille (m.e.s de Sébastien Dodge), Le Dragon d’Or (m.e.s de Mireille Camier) ainsi que La maison et Les Bienheureux de Pirata Théâtre (m.e.s. de Michelle Parent). Comme accessoiriste elle travaille entre autres pour Les Grands Ballets Canadiens, la Compagnie Marie Chouinard, le Théâtre de l’Avant-Pays et le Théâtre des cascades.

Artiste multidisciplinaire, Julie-Ange s’illustre de plusieurs façons : elle signe la conception visuelle des arrière-plans pour le livre Les desserts de Patrice, publié aux Éditions de l’Homme. Lauréate de la deuxième édition du concours En Façade, organisé par Création Loto-Québec et le Théâtre Espace GO, son œuvre habille la façade du théâtre pour toute la saison 2011-2012. Elle participe à l’exposition extérieure Mon beau sapin avec son installation Forêt présentée dans l’arrondissement du Plateau Mont-Royal à l’hiver 2013.

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ANDRÉANNE DESCHÊNES (lumières)

Andréanne manifeste un intérêt marqué pour la lumière, tant au théâtre qu’en danse. Elle a collaboré avec Cas Public et Hélène Blackburn pendant plus de dix ans, mais également avec Trois Tristes Tigres, Théâtre Quatre/Corps, le Collectif Zeugma, Pierre Lecours, Érika Tremblay-Roy et Le Petit Théâtre de Sherbrooke ainsi que Pirata Théâtre, compagnies pour lesquelles elle a signé plusieurs conceptions lumière. Elle assure également la régie de nombreuses tournées nationales et internationales, dont celles de Cas Public de 2002 à 2013, Virginie Brunelle, Petit Théâtre de Sherbrooke, La [Parenthèse], pour ne nommer que celles-là. Andréanne fait présentement partie des équipes de création du Petit Théâtre de Sherbrooke et du Théâtre du Double Signe à titre de conceptrice d’éclairage et comme directrice de production.

Pirata Théâtre

En tissant des liens entre les gens et entre les arts, en piratant l’art et le réel, nous imaginons des portraits impressionnistes et poétiques de notre époque, de notre société. Provoquant des rencontres inédites, les oeuvres convoquent dans la création et sur scène des présences qui gravitent, dans la vie réelle, en périphérie de la majorité ordinaire. C’est ce point de vue périphérique sur le monde qui distingue l’écriture singulière de Pirata Théâtre depuis maintenant 10 ans.

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La compagnie

Presse

« V. P. «Le texte original était on point, mais très «français» dans sa facture (of course) et dans son humour. Il fallait rendre ça Queb et plausible pour une fille d’ici. Puis, on a aussi nos milliardaires au Québec! Il fallait s’approprier tout ça et retrouver la légèreté de ton.»

«On s’est aussi intéressées à nos milliardaires d’ici. Bon, c’était assez facile, parce qu’au Québec, il n’y en a que douze. Initialement, on devait jouer en mars 2020. Pendant l’année de jachère, on a tout actualisé. Saviez-vous que Vuitton fait maintenant des visières à 900 $ et qu’on peut avoir du gel hydroalcoolique de Chanel?»»

Pour l’entrevue de Michelle Parent et de Véronique Pascal au complet, c’est par ici

 

 

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Pour toute demande média et presse, merci de contacter Marie-Thérèse Traversy, relationniste de presse.

Marie-Thérèse Traversy 
Manigances 
marie@quedesmanigances.com
450-561-5087

?Les billets pour toutes les représentations de l’événement seront mis en vente, au plus tôt, un mois avant la date de première, au plus tard, quelques jours avant, en fonction des pronostics de la Santé publique. En cas d’annulation du spectacle après achat de votre billet, nous procéderons à un remboursement intégral. Merci de votre compréhension.?

Par : Parrêsia Compagnie de Création

Durée : 1h

Pour : 17 ans et plus

Horaires :

mardi-mercredi : 19h

jeudi-vendredi : 20h

samedi : 15h

Événement Facebook

Lieu: L'Arène

Cet événement est passé.

Comme les représentations ne peuvent pas se faire, profitez de la création filmique de HAPPY HOUR, disponible en webdiffusion de 1er au 11 avril

Un duo percutant : l’homme parle sans fard de son enfance et de la découverte de sa sexualité, la femme se confie sur son rapport déconcertant à la maternité et à ses origines. Deux êtres, interprété·e·s par Thomas Leblanc et Anna Beaupré Moulounda, se dévoilent crûment, par bribes, donnent parfois à entendre l’indicible. Des textes crus habitent le plateau. La présence des interprètes, proche et franche, les incite à livrer des récits qui nous confrontent à la monstruosité de nos sociétés et de nous-mêmes. Peu importe nos origines culturelles, les morceaux de vies viennent creuser dans les sillons les plus profonds de notre humanité. Loin du cynisme, la mort, le sexe, la violence et la famille sont scrutés en toute intimité et sans pitié.

En 2017, Ana Pfeiffer Quiroz, artiste d’origine péruvienne, met sur pied la compagnie de création Parrêsia avec les deux comédiens de Happy Hour. Dans la Grèce antique, parrêsia fait allusion au droit citoyen d’énoncer une vérité intime sur la place publique, un geste qui comporte une part de risque et nécessite un certain courage. Ce concept, au cœur du développement artistique de la compagnie, s’avère ici parfaitement justifié.

Pourquoi cacher sa laideur ? Dans cette première œuvre signée Parrêsia Compagnie de création, la metteure en scène Ana Pfeiffer Quiroz tire une sève fertile de ses interprètes, Anna Beaupré Moulounda et Thomas Leblanc. Le duo montre à la fois un visage attachant et menaçant, présenté sans pudeur jusqu’à l’apothéose. Une performance empreinte d’humanité.

 

Happy Hour est un projet scénique qui s’inscrit sur la forme d’une écriture de plateau. La parole intime est la source première du processus de création. Ana Pfeiffer Quiroz favorise le travail de «creusement de soi-même» pour paradoxalement s’éloigner de soi et devenir l’Autre : le personnage. Dans ce processus, deux des notions qui composent le personnage tragique : l’Hybris (la démesure, la passion, le personnage incapable de contrôler son tempérament et qui devient victime de sa propre démesure) et le Pharmakos (l’être qu’on immole pour expier nos fautes) ont accompagné les réflexions de l’artiste. Les récits et la présence des personnages de Happy Hour fouillent dans les endroits les plus sensibles de notre humanité en nous montrant la monstruosité de nos sociétés. Happy Hour devient un voyage à l’intérieur de personnages actuel·le·s et complexes. Des textes crus et d’une urgence émouvante habitent la scène.  

Crédits

Texte : Ana Pfeiffer Quiroz, Anna Beaupré Moulounda et Thomas Leblanc

Production :  Parrêsia compagnie de création 

Idéation et mise en scène : Ana Pfeiffer Quiroz

Conception de scénographie et de costume : Manon Guiraud

Conception d’éclairage : Nicola Dubois

Conception de son : Lost Boys (David Rancourt et Antoine Rochette)

Distribution : Anna Beaupré Moulounda et Thomas Leblanc

Biographies des artistes

 

ANA PFEIFFER

Arrivée à Montréal en 2010, Ana Pfeiffer Quiroz est une comédienne et metteure en scène formée à l’École nationale de théâtre de Lima, au Pérou. Elle fait ses armes comme directrice d’acteurs sur les plateaux de tournage avant d’étudier les pratiques cinématographiques et technologiques à la New York University (NYU). Après son arrivée au Québec, Ana se sent interpellée par la faible représentation des artistes immigrantes dans le théâtre québécois francophone et réalise à ce sujet le projet de recherche-création Sans étiquette dans le cadre de sa maîtrise en théâtre à l’UQAM. En 2016, Ana réunit des artistes de différentes origines et met en scène la performance Parrêsia à l’espace Georges-Émile-Lapalme. Le journaliste Mario Girard (La Presse) salue sa démarche dans une chronique qui questionne le « nous » québécois. En 2020, Ana signe la mise en scène et la dramaturgie de Happy Hour dans la Salle intime du Théâtre Prospero. Présentement, Ana mijote déjà sa prochaine création qui convoque les voix féminines de manière poétique, irrévérente et inattendue et continue avec ses étude de doctorat en Études et pratique des arts à l’UQAM.

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ANNA BEAUPRÉ-MOULOUNDA

Anna Beaupré Moulounda termine des études en interprétation théâtrale au Cégep de Saint-Hyacinthe en 2002. Elle travaille depuis comme comédienne (Les Sorcières de Salem, Club Mel, 100% Local, 14 millions de choses à savoir). En 2013, elle se joint au collectif humoristique Les Femmelettes. Forte de cette expérience elle présente son premier one-woman-show Faite au Québec. Elle est aussi autrice et présente sa première pièce de théâtre Sans pays en tournée dans plusieurs villes au Québec. Elle collabore également au Projet Stérone, qui a connu un vif succès sur la toile, entre autres avec sa capsule « L-100-K-lisse ». En 2016, elle est interprète dans la pièce in-situ Parrêsia d’Ana Pfeiffer Quiroz, présentée à l’Espace George Émile Lapalme. En 2020, elle est une des interprètes de Happy Hour, mis en scène par Ana Pfeiffer, et présenté à la Salle intime du Théâtre Prospero. En mars 2020, Anna fait partie de la distribution de la pièce Les sorcières de Salem présentée au théâtre Denise-Pelletier.

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THOMAS LEBLANC

Thomas Leblanc s’illustre autant sur scène qu’à la radio et sur Web. Performeur autodidacte, il s’engage dans des ateliers de jeu à Montréal et à New York avec les professeurs Maggie Flanigan, Jean-Pierre Bergeron et Nicolas Cantin. Sur ICI Première, il commente l’actualité sociale et culturelle aux émissions Plus on est de fous, plus on lit et Pas tous en même temps. Il co-anime divers projets avec l’humoriste Tranna Wintour dont le balado queer Chosen Family (CBC, Centre Phi) et le cabaret humoristique Sainte Céline (Fierté Montréal, Juste pour Rire). Il a commencé sa carrière dans les médias comme Rédacteur en chef du mensuel artistique Nightlife avant de devenir recherchiste pour l’animatrice Christiane Charrette. Depuis 2015, il participe aux créations scéniques d’Ana Pfeiffer Quiroz. En 2015, il est dans Sans étiquette (UQAM). En 2016, il est un des interprètes dans la pièce in-situ Parrêsia présentée à l’Espace George Émile Lapalme. Et en 2020, Thomas co-forme avec Anna Beaupré Moulounda le duo percutant de Happy Hour présenté à la Salle intime du Théâtre Prospero. .

À propos de Parrêsia Compagnie de Création

Parrêsia Compagnie de Création est fondée en 2017 par Ana Pfeiffer Quiroz, actrice et metteure en scène d’origine péruvienne, avec Anna Beaupré Moulounda et Thomas Leblanc. La compagnie fait ses premiers pas officiels avec la création Happy Hour présentée à la salle intime du Théâtre Prospero en février 2020. Multidisciplinaire et indisciplinée, leur approche pulvérise les hypocrisies qui nous emprisonnent dans une illusion de progrès, pour ne garder que l’essentiel : la conviction que la vérité blessante est l’arme la plus redoutable du théâtre. Les trois artistes, venus de Lima, de Rouyn-Noranda, du Congo, de Montréal-Nord, de la côte Pacifique du Pérou, du quartier Côte-Saint-Paul, de la Gaspésie, de la banlieue, du Mile-End, d’ailleurs, de partout et de nulle part, descendent dans l’arène pour combattre. Leurs œuvres théâtrales sont des manifestes enracinés dans leurs contradictions intérieures, politiques, artistiques, sociales et physiques.

 

Leur site

Scolaires et groupes - documents
Presse

Accéder au communiqué de presse

 

Pour toute demande, merci de contacter Isabelle Bleau, relationniste de presse.

Isabelle Bleau Communications
isabelle.bleau@bellnet.ca
Tél. : 514 933-2523 / cell: 514 992-8319

Supplémentaire exceptionnelle le 17 novembre dans le cadre du OFF-CINARS
Samedi… c’est 2 pour 1 ! 

Durée du spectacle : 1 h 30 sans entracte

Du mardi au vendredi à 20 h
Samedi 16 h
Jeudi 18 octobre à 19 h
Pas de représentation le mercredi 24 octobre

Représentations scolaires
Mardi 16 et jeudi 18 octobre à 13 h 30
Réservations à groupe@auxecuries.com

Lieu: L'Arène

Cet événement est passé.

Un beau soir de printemps, plusieurs jeunes se réunissent dans un champ de maïs vaseux pour célébrer la fin de leurs études. Ce qui devait être une soirée sans histoire se transformera en un véritable cauchemar pour l’une des personnes présentes. Après ce qui sera appelé « l’Événement », plusieurs questions resteront sans réponse et ce, pendant de très nombreuses années, dont celle-ci : est-ce que notre jugement se dilue lorsqu’un groupe se forme?


Grâce au mouvement dansé, à l’acrobatie et à un texte où se mixent langage quotidien et poétique, les «souvenirs» de l’évènement seront révélés par bribes et on découvrira les mécanismes insidieux qui ont mené à ce gâchis. Au niveau visuel, le Théâtre I.N.K. y explore la projection vidéo ; le dispositif scénique étant équipé de 25 chaises identiques, 12 séparateurs de foule, un écran et une caméra surplombant la scène, les images captées en live permettent de découvrir le mouvement dansé et acrobatique sous un tout autre angle ainsi que des indices insoupçonnés sur ce qui s’est passé.

Dans cette œuvre, Marilyn Perreault s’est de nouveau donné le défi d’allier mots du quotidien, langage poétique, images vidéo ainsi que mouvements acrobatiques et dansés.

 

Crédits

Texte et mise en scène : Marilyn Perreault
Assistance à la mise en scène et régie : Amélie-Claude Riopel
Avec : Harou Davtyan, Marie Fannie Guay, Nora Guerch, Xavier Malo, Marc-André Poliquin et Lesly Velázquez
Décor : Patrice Charbonneau-Brunelle
Conception vidéo : HUB Studio / Antonin Gougeon Moisan
Éclairages : Stéphane Ménigot
Costumes : Marjolaine Provençal
Musique : Laurier Rajotte
Direction de production : Maude St-Pierre
Direction technique : Mélanie Whissel
Production : Théâtre I.N.K.

La presse en parle...
« Il y a tant et tant dans ce spectacle souvent vertigineux, par sa forme et son contenu, que nous ne pouvons qu’applaudir la dramaturge-metteure en scène et sa troupe pour leur courage et la pertinence du portrait qu’ils brossent de la jeunesse d’aujourd’hui. » – Mario Cloutier, La Presse
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« Dans le rôle de L., Lesly Velàsquez, fine comédienne d’origine mexicaine, compose une figure stoïque («Je n’ai pas pleuré», dira-t-elle), émouvante reine de bal déchue, ses souliers à la main. Autour d’elle, tous les jeunes interprètes rendent bien la fougue et la naïveté, la violence aussi de ces bouillonnants ados.» – Patricia Belzil, Jeu, revue de théâtre

« Fiel est une pièce à voir […] Elle aborde de front des sujets d’actualité qui se doivent d’être discutés, maintenant plus que jamais. » – Roxane Guérin, MonThéâtre

« Il y a eu le mouvement #moiaussi. Les déconfitures publiques de semi-dieux du monde du divertissement. Des voix qui se sont levées, des pervers qui ont été dénoncés. Pourtant, raconter un viol n’est pas pour autant devenu plus facile. Dans Fiel, l’auteure et metteure en scène Marilyn Perreault du Théâtre I.N.K. aborde la question avec une incroyable délicatesse. » – Mélissa Pelletier, Les Méconnus

Le Théâtre I.N.K.

Fondé en 2002 par Marilyn Perreault et Annie Ranger, le Théâtre I.N.K. crée et met en scène des textes québécois inédits  en portant une attention particulière à l’intégration de l’image et du mouvement dans l’interprétation théâtrale. Elle explore les combinaisons possibles entre le texte dramatique et différentes disciplines artistiques, dont la danse, l’acrobatie, le théâtre d’objets et d’ombres, la marionnette et la vidéo. La compagnie compte neuf productions à son actif et a reçu de nombreuses distinctions : Lignedebus / Bus Stops  (4 nominations aux METAs pour la meilleure production et distribution, les éclairages et le décor), Robin et Marion (nomination AQCT dans la catégorie Interprète masculin), La robe de Gulnara (Prix AQCT dans la catégorie Production Québec et nomination en mise en scène et musique aux Prix d’excellence des arts et de la culture de la Ville de Québec), La cadette (nomination pour le Masque Production Montréal) et Les Apatrides (récipiendaire des Masques Révélation de l’année et Conception de décor).