Rencontre du 26 octobre : réfléchir ensemble au dialogue que nous entretenons avec les concepteur·rice·s avec qui nous créons nos spectacles

Lieu: Café

Cet événement est passé.

On se connaît, on se croise, on s’échange des courriels, on se promet un souper quand on aura le temps, mais on a trop peu d’opportunités de s’asseoir et de discuter, notamment de notre métier, avec nos collègues. Les rencontres sectorielles visent à rassembler les différents corps de métier des arts vivants, le temps d’un moment, pour parler de certains sujets. Ces rencontres, organisées et animées par un·e ou plusieurs membres de la communauté en question, se veulent une opportunité de faire connaissance plus en profondeur, de faire la lumière sur des questions qu’on se pose tous·tes, de mettre en place des initiatives facilitatrices et de discuter à bâtons rompus d’enjeux qui nous habitent. Toutes les rencontres auront lieu au café-bar du Théâtre Aux Écuries. 

 

Rencontre du 22 février : le travail du corps

Après avoir abordé la question du dialogue avec les concepteur·rice·s avec qui nous créons nos spectacles, cette fois ci la rencontre du 22 février abordera la question du travail du corps. Cette réflexion se prolongera dans la salle du Théâtre Aux Écuries où se joue Maelström. À l’instar des autres productions du Théâtre I.N.K., Annie Ranger, codirectrice de la compagnie, signe une mise en scène qui intègre le mouvement et la danse au cœur de l’interprétation théâtrale.

Rencontre du 26 octobre : réfléchir ensemble au dialogue que nous entretenons avec les concepteur·rice·s avec qui nous créons nos spectacles

Après avoir abordé la mise en scène sans texte préalable et la relation entre metteur·e·s en scène et acteur·rice·s lors de nos rencontres de la saison dernière, je vous propose de réfléchir ensemble au dialogue que nous entretenons avec les concepteur·rice·s avec qui nous créons nos spectacles.

Comment s’établit-il ? De quelle manière, avec quels outils ou supports partagés ? Comment développer un langage commun et ce, même si les pratiques de l’un·e ou de l’autre ne sont pas nécessairement rattachées à des univers esthétiques semblables ? Ce dialogue avec les scénographes et autres concepteur·rice·s repose-t-il sur un principe d’évocation d’un ailleurs ou plutôt sur la génération d’états ? Dans le cas d’une écriture de plateau, comment la collaboration est-elle amenée à se transformer ? Qu’advient-il du rôle des concepteur·rice·s quand l’espace, la lumière, les costumes ou le son sont les bougies d’allumage d’un projet ? Ou que la mise en scène repose sur un concept fort lié à l’un ou l’autre des aspects scénographiques qui participent concrètement à la dramaturgie ?

Cette réflexion se prolongera dans la salle du Théâtre Aux Écuries où se joue L’espèce fabulatrice. La distribution, composée de personnes ayant en commun de s’être effondrées au cours de leur vie, tente de maintenir vivants des tournesols dans une serre, au fur et à mesure que les représentations s’accumulent.

Animée par

ANNE-MARIE GUILMAINE

 

MARILYN PERREAULT se joindra à l’animation le 2 avril