Lors de rencontres informelles qui auront lieu durant l’heure du dîner cet hiver et ce printemps, les Écos-cool, un comité interne d’Aux Écuries, désirent réunir leurs collègues qui oeuvrent dans des lieux de création et de diffusion afin d’échanger sur les bonnes pratiques, les conseils et les recommandations de toutes et chacun·e·s pour se rendre collectivement meilleur. Un partage des savoirs verts pour faire le point sur nos réflexions entourant la transition écologique dans nos théâtres.

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Le Théâtre Aux Écuries porte une attention particulière aux enjeux environnementaux et durables. Récemment, comme plusieurs, en faisant un tour d’horizon de nos pratiques et de nos habitudes nous avons réalisé qu’un grand bout de chemin était toujours à faire quant à notre impact.

Les rencontres des Écos-cool continueront les conversations entretenues durant les premières rencontres faites cet automne autour des certifications, des bonnes pratiques et des nouvelles méthodes de consommation à entretenir. Si vous n’étiez pas présent·e·s aux rencontres de cet automne, pas de panique ! Nous invitons tou·te·s les artistes et travailleur·euse·s culturels qui souhaitent participer à ces questionnements actuels à se joindre à nos dîners-causeries pour en apprendre davantage sur les bonnes méthodes à avoir 😉

 

Nous avons hâte de vous voir pour discuter de cela ensemble ?

 

Les autres dates : 

 

Animée par 

LES ÉCOS-COOL

Le comité des écos-cool du Théâtre Aux Écuries est composé de personnes de différentes compagnies de théâtre mais aussi de différentes spécialités afin de couvrir tous les aspects possibles du domaine.

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On se connaît, on se croise, on s’échange des courriels, on se promet un souper quand on aura le temps mais on a trop peu d’opportunités de s’asseoir et de discuter, notamment de notre métier, avec nos collègues. Les rencontres sectorielles visent à rassembler les différents corps de métier des arts vivants le temps d’un après-midi pour parler de sujets. Ces rencontres, organisées et animées par un·e membre de la communauté en question, se veulent une opportunité de faire connaissance plus en profondeur, de faire la lumière sur des questions qu’on se pose tou·te·s, de mettre en place des initiatives facilitatrices et de discuter à bâtons rompus d’enjeux qui nous habitent.

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Nini Bélanger partagera avec vous sa manière d’aborder le travail de création et vous invite à participer et à nourrir cet échange avec vos propres pratiques et expériences.

  • Quelles sont les questions artistiques que vous vous posez au début d’une création ?

  • Sont-elles récurrentes ou évoluent-elles d’un projet à l’autre ?

  • Ces questions émergent-elles plutôt pendant le processus de création ?

Un événement remue-méninges chaleureux et convivial à ne pas manquer !

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Animée par 

NINI BÉLANGER
Nini Bélanger est metteuse en scène. À sa sortie de l’École nationale en 2006, elle fonde Projet MÛ, compagnie avec laquelle elle réalise des œuvres tant pour les adultes que pour la jeunesse. Elle est également co-directrice artistique du Théâtre Aux Écuries, co-fondatrice de La Machinerie, organisme en partage de ressources pour le milieu des arts vivants.

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La programmation du Festival est enfin disponible et la billetterie est ouverte ! 

Le Festival du Jamais Lu propose aux auteurs et autrices de théâtre, essentiellement de la relève, une tribune pour la lecture de leurs textes inédits. Pensées par des metteurs et metteuses en scène et portées par la voix de comédiens et comédiennes, ces lectures théâtrales font jaillir des langues, des formes, des styles très variés, mais tous empreints d’une envie commune : celle d’interroger, au moyen de la fiction, le monde dans lequel nous vivons. La programmation, disponible juste ici, veut présenter un panorama actuel de notre société.

Du 19 au 28 août, les Écuries ainsi que le parc de Normanville seront les théâtres d’œuvres fraîchement achevées, de 6@7 performances, de déjeuners sur l’herbe et d’une lecture jeunesse

N’hésitez pas à profiter des lectures théâtrales qui se feront dans l’Arène des Écuries où vous pourrez, par la suite, traîner tardivement autour d’un verre et d’un repas léger, question de refaire le monde, inspirés par les mots entendus.


À chaque édition, la cellule artistique du Jamais Lu (composée de Marcelle Dubois et de Fanny Brossard-Charbonneau) s’accompagne d’une différente co-direction artistique. Cette année, se joignent à elle Étienne Lou, Bibish Marie Louise Mumbu et Anne-Marie Olivier

Encourageons les nouveaux textes afin que nos scènes de demain soient habitées de mots vivants et actuels. 

 

Programmation, horaires et informations : 

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Jeudi 19 août

Soirée d’ouverture

  • 17h : Avoir 20 ans – Se raconter pour avancer
  • 20h : Jusqu’où te mènera l’avenir ? (présentiel, webdiffusion et écoute collective) – Martin Faucher et 8 auteur·trice·s
Vendredi 20 août

Jamais Lu Mobile en écoute collective

  • 14h : À demain Moïra – Anick Martel

6@7 performance

  • 18h : Chose certaine #1 : Je ne peux y arriver seule – Mireille Tawfik

Lecture théâtrale

  • 20h : Péremption(s) (présentiel et audiodiffusion) – Caroline Somers et Marc-Antoine Lamarche
Samedi 21 août

6@7 performance

  • 18h : Chose certaine #2 : Chose certaine qu’une certaine chose nous manque – Hugo Fréjabise

Lecture théâtrale

  • 20h : La reine Nzinga : une épopée (présentiel et audiodiffusion) – Alexis Diamond / Bibish Marie Louise Mumbo / Tatiana Zinga Botao

 

Dimanche 22 août

Lectures théâtrales

  • 13h : Bagage (présentiel et audiodiffusion) – Sarah Segal-Lazar / Gabrielle Chapdelaine
  • 20h : Je suis perdue, toi aussi (présentiel et audiodiffusion) – Élie Marchand

6@7 performance

  • 18h : Chose certaine #3 : Le temps passe… Je suis à la même place – Jaleesa Coligny
Lundi 23 août

Séances jamaisliennes

  • 10h : Les déjeuners sur l’herbe I – Écrire à une main : Le solo théâtral – David Paquet et Karine Sauvé

Jamais Lu Mobile en écoute collective

  • 14h : Lau – Marie-Pier Audet

6@7 performance

  • 18h : Chose certaine #4 : Je me souviens – Niap et Olivia Ikey Duncan

Lecture théâtrale

  • 20h : Chambre d’échos (présentiel et audiodiffusion) – Philippe Ducros
Mardi 24 août

Séances jamaisliennes

  • 10h : Les déjeuners sur l’herbe II – Écrire à 4 mains : L’amitié dans le processus d’écriture – Alexia Bürger et Fanny Britt + Alexandre Castonguay et Nicolas Lauzon

Lectures théâtrales

  • 16h : Chokola (Égrégore) (présentiel et audiodiffusion) – Phara Thibault
  • 20h : RAD (présentiel et audiodiffusion) – Julien Beauseigle
Mercredi 25 août

Séances jamaisliennes

  • 10h : Les déjeuners sur l’herbe III – Écrire à 10 mains : L’écriture de plateau. L’art de scripter l’instant – Projet MÛ et Théâtre Du Bunker

Jamais Lu Mobile en écoute collective

  • 14h : L’apnée du soleil – Jean-François Aubé

6@7 performance

  • 18h : Chose certaine #5 : Le mouvement entraîne le mouvement – Les Bénés

Lecture théâtrale

  • 20h : Parler mal (présentiel et audiodiffusion) – Gabriel Robichaud et Bianca Richard
Jeudi 26 août

Séances jamaisliennes 

  • 10h : Les déjeuners sur l’herbe IV – Écrire à 1000 mains : Réunir une foule qui nous contient tou·te·s – Les Bénés + Nice Try + La Fratrie

Événements satellites

  • 12h30 : Les îles de Raphaël (présentiel et audiodiffusion) – Alexandra Déglise

6@7 performance

  • 18h : Chose certaine #6 : Nous sommes invincibles – Pleurer Dans’ Douche

Lecture théâtrale

  • 20h : Et si je ne suis pas sage qu’allons-nous faire ? (présentiel et audiodiffusion) – Iva Brdar
Vendredi 27 août

6@7 performance

  • 18h : Chose certaine #7 : Le soleil finit toujours par se coucher – Francis William-Rhéaume

Lecture théâtrale

  • 20h : Un coin jeté dans l’nord (présentiel et audiodiffusion) – Alexandre Castonguay et Nicolas Lauzon
Samedi 28 août

Lecture théâtrale jeunesse

  • 20h : Charlie, du vent derrière le nombril (pentalogie jeune public) (présentiel et audiodiffusion) – Martin Bellemare

Soirée de clôture

  • 20h : Soirée des ouvertures : Tribune solennelle pour mondes nouveaux (présentiel, webdiffusion et écoute collective) – Gabrielle Côté et invité·e·s
Tarifs

Horaires de la billetterie : 

Du lundi au vendredi de 13h à 20h

Les samedis et dimanche dès 2h avant le début de la première représentation jusqu’à l’heure de début de la dernière représentation de chaque journée.

Tarifs : 

Séances jamaisliennes : Gratuit

6@7 performances : Gratuit

Événements satellites : Gratuit

Jamais Lu Mobile en écoute collective : Gratuit

Lecture théâtrales : Régulier 16$ | Enfant (15 ans et moins) : 12$ | Égrégore : 12$

Ouverture + clôture en présence : 20$

Audiodiffusion et vidéodiffusion : 12$ | Égrégore : 10$

Le Jamais Lu

Entre deux mauvaises rencontres à l’école et les interventions d’une mère exaspérée, Léon mange des clous en cachette. Léon le nul, comme les autres enfants se plaisent à l’appeler, rêve de devenir un train, plus grand et plus puissant que tout le monde. Écrit par Francis Monty en 2001, Léon le nul est un texte fort qui dépeint la vie d’un petit garçon. À l’école, il est le souffre-douleur de ses camarades. À la maison, il cherche sa place entre sa mère, nerveuse et impatiente, et son frère Éthienne, grand vendeur de chocolat, bourré d’argent et sûr de lui. Pour s’en sortir, Léon veut devenir un train, dur et puissant. Alors il mange des clous, et attend que ses anniversaires transforment ses jambes en roues.

 

Entendu sur les ondes en 2003, publié chez Lansman (Belgique) en 2004, le texte a été porté une première fois à la scène en 2005 en coproduction avec le Théâtre Bouches Décousues, le Théâtre de la Pire Espèce et le Théâtre d’Aujourd’hui (Montréal, Québec). En 2017, Francis Monty réécrit le texte. Il y introduit un narrateur extérieur qui apporte une dimension comique et qui créé un lien complice entre le personnage de Léon et le public. Le nouveau texte a été présenté à l’occasion d’une tournée en France en 2019. 

Crédit photo : Mathieu Doyon

 

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Crédits

Production : Théâtre de la Pire Espèce

Texte et mise en scène : Francis Monty

Interprétation : Éloi Archambaudoin ou Étienne Blanchette

Conception des éclairages : Thomas Godefroid

Costumes : Julie Vallée-Léger

Accompagnement dramaturgique: Jonathan Cusson

Assistance à la mise en scène : Martine Richard

Présents lors d’étapes de création : Olivier Ducas, Judith Guilloneau et Alexandre Leroux

Direction de production et technique : Camille Robillard

Le Théâtre de la Pire Espèce

Depuis 1999, le Théâtre de la Pire Espèce emprunte ses techniques à différentes disciplines telles que la marionnette, le théâtre d’objets, le clown, le cabaret et le théâtre de rue. La compagnie s’applique à développer, en explorant le processus de création, un art vivant, novateur et accessible. Contournant l’illusion théâtrale, elle souhaite établir un rapport direct avec le public, au profit d’une complicité avec le spectateur. Impertinent, festif et accidentellement érudit, son théâtre allie matériaux bruts et imagination débridée, foisonnement baroque et précision chirurgicale.

 

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« Lorsqu’on est jeunes et que l’on joue dans des modules de parcs, on s’invente des mondes. Avec PARC, on veut se permettre d’inventer des mondes sans les écrire à l’avance. »

 — Les Productions de L’Instable

           

PARC est un spectacle de conception d’espaces pensé pour stimuler les acteur·trice·s en contexte de théâtre d’improvisation. Inspirées par la notion d’acteur·trice-créateur·trice et souhaitant partager leur vision de la création théâtrale spontanée, les Productions de L’Instable revisitent la création collective et réalisent une réflexion sur l’espace et le jeu théâtral. 

Après un laboratoire de recherche mené en 2019 au Théâtre Aux Écuries, Frédéric Barbusci, metteur en scène et directeur artistique des Productions de L’Instable, et son équipe, continuent leurs explorations en théâtre d’improvisation. Avec une boîte à outils composée de 7 modules et une douzaine de praticables, les conceptrices Julie Basse (lumières) et Odile Gamache (espace) créeront, chaque soir de représentation, une scénographie originale et différente que les comédien·ne·s découvriront lorsqu’il·elle·s entreront en scène, et à partir de laquelle il·elle·s s’inventeront des mondes, des histoires et des personnages. Dans ce processus, la première réplique est donnée à la scénographie et les comédien·ne·s doivent se laisser guider par ce qu’il·elle·s ressentent. Pour bien recevoir cette scénographie, leurs cinq sens doivent être en alerte afin de réagir et de raconter ce qui les habite. De ce fait, chaque soir, les spectateur·trice·s seront emmené·e·s dans un nouvel espace créatif et assisteront à une représentation d’un ou de plusieurs tableaux de théâtre d’improvisation, toujours uniques et singuliers. 

« Le théâtre d’improvisation est un médium qui permet au comédien-créateur d’être en symbiose avec toutes les composantes de la production. En donnant la première réplique à la conception spatiale, nous désirons favoriser et magnifier le dialogue entre la scénographie, les éclairages, le public et les artistes. Avec seulement 30 heures de travail exploratoire, notre but est d’atteindre une sensibilité unique qui nous permettra de surpasser le tour de force que nous avons l’habitude de voir et de réellement laisser les réactions et les personnages guider les comédiens et comédiennes tout en se permettant de naviguer entre le grotesque et le sublime. » Frédéric Barbusci, directeur artistique des Productions de L’Instable  

 

L’objectif de PARC est de faire table rase des conventions actuelles en théâtre d’improvisation. Les Productions de L’Instable cherchent à élargir les possibilités de la narration en prenant l’espace proposé par les scénographes comme point de départ de la création. Ils testeront de nouveaux rythmes, de nouvelles écritures et pulsions créatives. PARC est le résultat de plusieurs années de recherches pour aboutir à une démarche unique en théâtre d’improvisation.

 

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Crédits

Idéateur·trice·s : Frédéric Barbusci et Rachel Gamache

Mise en scène et direction artistique : Frédéric Barbusci

Mise en espace : Julie Basse, assistée de Joëlle Leblanc (lumières) et Odile Gamache (scénographie)

Conception musicale : Dominiq Hamel 

Distribution : Frédéric Barbusci,  Félix Beaulieu-Duchesneau, Anne-Marie Binette, Amélie Geoffroy , Dominiq Hamel, Cynthia Trudel

Production : Productions de L’Instable  

À propos

Fondées en 2011 par le comédien Frédéric Barbusci, les Productions de L’Instable ont pour mission de proposer de nouvelles structures de création et de nouveaux espaces pour le théâtre d’improvisation. La compagnie souhaite ainsi encourager la recherche dans sa discipline, favoriser l’exploration théâtrale et repousser les possibles de l’acteur-créateur. Depuis sa fondation, une cinquantaine de spectacles aux formes inusitées ont été produits à Montréal, soit en autoproduction dans des salles accueillant l’expérimentation artistique (Espace Libre, MTL Improv, Le Balcon, O Patro Vys, etc.), soit en codiffusion avec les plus grands festivals de la région (Francofolies, Festival de Jazz, Juste pour rire, etc.).

 

En 2018, Frédéric  Barbusci et Rachel Gamache s’allient aux conceptrices Julie Basse (lumières) et Odile Gamache (espace) afin de réfléchir aux façons de créer de nouveaux espaces, conçus et scénographiés expressément pour permettre d’explorer les possibilités de la performance théâtrale spontanée.

 

Les Productions de L’Instable ont également à coeur la promotion de leur mission. Depuis 2016, elles offrent des formations en jeu improvisé au grand public et en entreprises. De plus, elles vendent leurs spectacles et leurs formations à divers organismes culturels et aux écoles afin d’autofinancer ses activités de recherche et création. Nous proposons des démarches de création différentes en mettant l’accent sur l’exploration, sur les possibilités de l’interprétation théâtrale et en valorisation l’improvisation théâtrale comme outil de création. 

 

Depuis l’automne 2016, Frédéric Barbusci, dans son rôle de directeur artistique, rencontre les artisans du théâtre improvisé d’ici et d’ailleurs pour connaître leur approche de la discipline et discuter de leur vision artistique. Ces rencontres sont enregistrées sur le vif et diffusées sous forme de baladodiffusion (Pas d’impro, sur baladoquebec.ca, ITunes et Spotify). Elles regorgent d’informations sur les contextes et démarches de création actuelles en théâtre improvisé, de même que sur le travail et les motivations des comédiens et comédiennes qui se risquent sur les scènes du spontané.

 

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Presse

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Pour toute demande média et presse, merci de contacter Isabelle Bleau, relationniste de presse.
isabelle.bleau@bellnet.ca
Tel : 514 933-2523 / cell: 514 992-8319

Le dévoilement de la programmation de la 16e édition du Festival de Casteliers se fera le 4 février 2021 à 17h00. Confirmez votre présence dès maintenant sur la page Facebook de l’événement ! 

Confirmer sa présence

 

Le spectacle qui aura lieu au Théâtre Aux Écuries sera dévoilé le 4 février 2021 durant le dévoilement de la programmation. 

 

Présentée du 3 au 7 mars 2021, la 16e édition du Festival de Casteliers proposera des spectacles de formes intimes, pour de petits nombres de spectateurs, enfants ou adultes, afin de retrouver le plaisir d’être ensemble et combattre l’isolement. En solidarité avec la communauté artistique d’ici, le festival présentera une dizaine de spectacles de marionnettistes québécois au Théâtre Outremont, au Théâtre Aux Écuries, à la Maison internationale des arts de la marionnette (MIAM) et dans d’autres théâtres de la ville. Le parcours-exposition Marionnettes en vitrines! ainsi que de nouvelles activités virtuelles compléteront le programme, pour le plaisir du plus grand nombre ! La programmation sera dévoilée le 4 février 2021 à 17h00.

 

 

 

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Crédits

à venir

Casteliers

Fondé en 2005, Casteliers est un diffuseur spécialisé en théâtre voué aux arts de la marionnette. Casteliers organise un festival international annuel, Le Festival de Casteliers, et une saison de programmation. Casteliers s’adresse tant aux enfants qu’aux adultes et propose des spectacles de formes traditionnelles ou contemporaines, témoignages de la richesse du passé et de la pluralité des créations nouvelles qui s’en inspirent.

 

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Éthienne ne peut pas (ou ne veut pas) s’expliquer ses origines de façon rationnelle. Sa famille est démesurée: comment sa mère a-t-elle pu enfanter, sans le secours des dieux, 57 enfants? Si laids! Si bêtes! Pourquoi est-il le seul à être doué de raison? Il s’agit là, sans contredit, d’un signe de l’au-delà. Mais surtout, il ne peut se satisfaire de ce père mou, à demi bovin. Il doit trouver une raison à ce châtiment. On a sûrement transformé ce père en vache pour une faute commise par un autre membre de la famille… Il doit savoir, il doit trouver une cause toute-puissante pour donner un sens à sa condamnation. Quitte à inventer l’origine de tous ces troubles.

À la manière d’un conte, ce spectacle développe en plusieurs tableaux la relation entre un fils et son père. Théâtre d’objets, ombres, dessins et musique en direct mettent en relief cette histoire abracadabrante.

 

Ce texte se veut un écho à Léon le nul, coproduit en 2005 avec le Théâtre Bouches Décousues. Éthienne, frère de Léon, personnage central de ce nouveau récit, transporte une autre vision de la famille. Si Léon tentait de s’affranchir de son lien de dépendance à l’égard de sa mère, Éthienne, petit bonhomme en papier carbone et à l’histoire sale, va plutôt tenter, lui, de se débarrasser de son père.

 

« On se régale de voir se matérialiser, grâce à quelques bouts de papier déchiré, cette histoire complètement débridée, servie par une ingéniosité et une dextérité dans la manipulation qui forcent l’admiration. Ce Petit bonhomme en papier carbone va certainement laisser des traces partout… » Michelle Channonat, reveujeu.org, avril 2014

Crédit photo : Eugène Holtz

 

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Crédits

Production : Théâtre de la Pire Espèce

Texte et mise en scène : Francis Monty

Interprétation : Francis Monty

Musique originale et régie : Mathieu Doyon

Assistance à la mise en scène : Manon Claveau

Scénographie : Julie Vallée-Léger

Dessins : Francis Monty et Julie Vallée-Léger

Collaboration à la création : Étienne Blanchette

Conseil lumières : Thomas Godefroid

Codirection technique : Nicolas Fortin

Codirection technique : Clémence Doray

Direction de production : Camille Robillard

Le Théâtre de la Pire Espèce

Depuis 1999, le Théâtre de la Pire Espèce emprunte ses techniques à différentes disciplines telles que la marionnette, le théâtre d’objets, le clown, le cabaret et le théâtre de rue. La compagnie s’applique à développer, en explorant le processus de création, un art vivant, novateur et accessible. Contournant l’illusion théâtrale, elle souhaite établir un rapport direct avec le public, au profit d’une complicité avec le spectateur. Impertinent, festif et accidentellement érudit, son théâtre allie matériaux bruts et imagination débridée, foisonnement baroque et précision chirurgicale.

 

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Comment j’ai guéri à l’aide de PowerPoint est un témoignage/conférence d’une femme qui a découvert sa singularité lors d’une dépression. Elle nous raconte comment elle a apprivoisé le logiciel le plus connu au monde et la relation intime qu’elle a développée avec celui-ci pour apprivoiser ses idées noires. N’ayant la force au départ que de produire un point, celui-ci s’anime ensuite et se reproduit. En déclinant signes de ponctuation, polices de caractère et une panoplie de transitions, elle nous fait revivre son voyage initiatique où se sont révélés des intérêts insoupçonnés et une sensibilité oubliée.

 

Comment j’ai guéri à l’aide de PowerPoint sera présenté en webdiffusion dans le cadre de la 15e édition du OFFTA qui se tiendra entre le 28 mai et le 6 juin 2021.

 

Tout savoir sur la 15e édition du festival

 

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LA SERRE – arts vivants

Parce qu’elle croit que l’art est essentiel pour lier l’individu à sa communauté, LA SERRE – arts vivants est un pôle de création qui provoque des rencontres et qui met à la disposition des artistes émergents des environnements favorables à la création d’œuvres significatives ainsi qu’à leur rayonnement.

LA SERRE est un incubateur structurant pour l’amélioration des conditions d’exercice des artistes émergents en arts vivants. Elle les accompagne dans le déploiement de leurs œuvres à partir de l’idéation jusqu’à leurs rencontres avec les publics. Elle aide l’artiste à développer son autonomie, sa maturité organisationnelle et son indépendance artistique. LA SERRE agit comme activateur de collaborations entre les artistes et les différents partenaires locaux, nationaux et internationaux ainsi qu’entre les artistes de différentes disciplines artistiques et d’autres secteurs d’activités. Artistiquement, LA SERRE privilégie des projets qui tissent des liens évocateurs entre les arts et la société et qui favorisent la rencontre entre les différents champs disciplinaires et sectoriels.
Le mandat de LA SERRE se déploie en trois axes d’activités :
– Artistes : soutien de projets en production déléguée
– Événements : conception et production d’événements dédiés à l’émergence
– Ateliers : espaces de recherche et de collaboration pour la communauté, développement des pratiques
Le OFFTA
Festival voué à la jeune création d’avant-garde en arts vivants.
Manifestation artistique annuelle créée en marge du Festival TransAmériques (FTA), le OFFTA est un festival voué à la jeune création d’avant-garde en arts vivants. Depuis 2007, il défriche tout au long de l’année le paysage artistique local afin de mettre de l’avant des créateurs dont la démarche guide les nouveaux courants en théâtre, danse et performance. Le OFFTA fonde son identité sur une direction artistique favorisant les démarches fortes et singulières, les pratiques émergentes et l’expérimentation.
Le OFFTA aspire à un décloisonnement des pratiques artistiques contemporaines et de leur public respectif. Dans cette vision transdisciplinaire, le OFFTA diffuse et produit des événements métissés, qui bousculent les pratiques établies des arts vivants et questionnent les modes de représentation, tout en favorisant la participation, le dialogue et la coopération.
Crédits - Comment j’ai guéri à l’aide de PowerPoint

Idéation, interprétation et texte : Amélie Dallaire

Visuel : Amélie Dallaire

Avec le soutien de : LA SERRE – arts vivants + L’Amicale (BE)

Résidences de création : Théâtre Aux Écuries

À propos d'Amélie Dallaire

Amélie Dallaire s’intéresse à ce qui est invisible, surnaturel et drôle. Depuis sa sortie du conservatoire d’art dramatique de Montréal, elle a écrit des courtes pièces mettant en scène des héroïnes particulières, témoignant de son affection pour le fantastique banal. Elle crée des personnages qui ne possèdent pas de bonnes aptitudes à exprimer leurs idées. Elle aime les silences, qui lui permettent d’exprimer une vérité peut-être plus grande que si elle écrivait beaucoup de mots.

LISTE D’ATTENTE POUR ASSISTER AUX SUPPLÉMENTAIRES (vous serez contacté·e·s par la billetterie)

Pour la représentation du Jeudi 15 avril à 13h uniquement, ouverture de la billetterie mercredi 14 avril à 8h

 

Suite aux nouvelles mesures décrétées par la santé publique, les représentations de COMMENT ÉPOUSER UN MILLIARDAIRE se feront face à des jauges plus petites et à des horaires reportées plus tôt.

Le spectacle dure 1h40 : si vous venez à une représentation de 17h30, vous sortirez des Écuries entre 19h10 et 19h15. Merci de prendre en considération cet horaire pour vous rendre à votre domicile avant le couvre-feu dans les délais impartis. Le Théâtre Aux Écuries et la compagnie Pirata Théâtre ne sont pas responsables d’un non-respect du couvre-feu de votre part.

Si vous êtes détenteur·trice·s de billets, vous allez être contacté·e·s par notre responsable de la billetterie. Pour toute question, vous pouvez nous joindre à billetterie@auxecuries.com

Nouveaux horaires :

mardi 13 avril : 17h30

mercredi 14 avril : 17h30

jeudi 15 avril : 13h et 17h30

vendredi 16 avril : 13h et 17h30

samedi 17 avril : 13h et 17h30

lundi 19 avril : 17h30

mardi 20 avril : 17h30

mercredi 21 avril : 17h30

 

 

Ils étaient 470 en 2000, 1011 en 2010. Ils sont maintenant 2095, sur 7 milliards d’êtres humains. Et ils possèdent ensemble 7 fois le capital qui permettrait de mettre fin à la pauvreté dans le monde. 

Pour ceux qui doutent de la poésie des pages du  magazine Fortune et pour ceux qui la goûtent, pour ceux qui ont compris qu’il y a davantage de bénéfices à épouser un milliardaire plutôt qu’à travailler pour lui ou acheter ses produits, pour tous ceux-là, Michelle Parent détaille, lors de son enterrement de vie de jeune fille, la mécanique du monde mondialisé. Un one woman show économique sur la liste Forbes des milliardaires, sur les riches et sur les pauvres. 

Michelle Parent, comédienne de 37 ans, vous convie à son dernier tour de piste. 

Dans un spectacle d’adieu convivial et intimiste, elle met fin à sa carrière de comédienne pour épouser un milliardaire. Finie la précarité !

À quoi bon travailler quand une élite s’enrichit en faisant travailler les autres ? À quoi bon consacrer du temps à suer de labeur quand on peut crouler sous les cadeaux ? À quoi bon être simple consommatrice quand on peut acheter ses propres produits — et donc ne pas perdre d’argent ? Telles sont les questions plutôt légitimes que vous pose Michelle Parent, qui toutefois apporte une précision importante : passer la bague au doigt d’un ou d’une milliardaire demande du travail. C’est un poisson rare, qui requiert un hameçon bien spécifique. En spécialiste fine et altruiste, elle apporte toutes les clés pour séduire les plus grandes fortunes du monde à l’occasion de son enterrement de vie de jeune fille. 

Elle vous détaille la mécanique du capitalisme mondialisé, de l’explosion des inégalités et prodigue quelques conseils pour reconnaître les bons partis : De Lakshmi Mittal à Guy Laliberté en passant par Donald Trump, le premier président milliardaire, et par Kylie Jenner – 22 ans – plus jeune milliardaire de l’Histoire et par Jeff Bezoz le numéro mondial : aucun prospect potentiel  ne sera épargné. Ils étaient 470 en 2000, 1011 en 2010.

-« Comme dit mon futur mari, il faut prendre l’argent là où il est : chez les pauvres. Ils n’ont pas beaucoup d’argent, mais il y a beaucoup de pauvres… »

 

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Crédits

Autrice : Audrey Vernon

Production :  Pirata Théâtre

Adaptation : Michelle Parent et Véronique Pascal

Mise en scène : Michelle Parent et Véronique Pascal

Assistance mise en scène et projections : Marie-Eve Archambault

Conception artistique : Michelle Parent, Véronique Pascal et Marie-Eve Archambault

Direction technique : Samuel Thériault

Lumières : Andréanne Deschênes

Scénographie et accessoires : Julie-Ange Breton

Régie : Marie-Frédérique Gravel et Pamela Dumas

Distribution : Michelle Parent

Biographies des artistes

MICHELLE PARENT (adaptation, co-mise en scène, interprète)

Michelle Parent se consacre au théâtre de création depuis une quinzaine d’années. Comédienne, metteure en scène et directrice artistique de Pirata Théâtre, elle développe depuis une décennie une écriture théâtrale pirate qui mélange les arts et le réel. Ses œuvres ont en commun de présenter des portraits de société : représentations poétiques de nos dérives, de nos enfermements, de nos espoirs. Elles parlent de notre système et de ce qu’il dépose en nous. Elles sont fabriquées de référents populaires, de culture pop, de matériaux issus du réel et d’artéfacts de notre rapport au monde. Ses créations singulières au sein de Pirata Théâtre ont marqué l’imaginaire. La Maison, présentée en 2011 à la Salle Fred-Barry avec des jeunes femmes en difficulté de l’organisme Passages, a remporté le prix de la pertinence sociale, le Noble Cochon, lors du Gala des Cochons d’Or. Elle porte depuis 2014, aux côtés d’Anne Sophie Rouleau, Album de finissants, qui rassemble des ados et des acteurs et qui fut présenté plus de 50 fois à travers la province avec plus de 300 ados. Les Bienheureux, présentée au Théâtre Aux Écuries avec des personnes recevant les services du Centre de réadaptation en dépendance, fut marquante et jouée à guichet fermé en 2016. Les spectacles de Pirata Théâtre ont été joués au Festival ZH, au Théâtre Denise-Pelletier, à Espace Libre, au Centre national des Arts, au Théâtre Périscope et au Théâtre Aux Écuries. Comme comédienne elle a joué au théâtre pour le Teesri Dunya Theater, Parabolik Guerilla, Camera Obscura. Et elle a porté le spectacle Album de finissants de 2012 à 2018 à travers la province.

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VÉRONIQUE PASCAL (co-mise en scène et adaptation) 

Depuis sa sortie du Conservatoire de Montréal, Véronique joue dans plus de 35 spectacles sur la scène professionnelle, et prend part à plusieurs courts et long-métrages, notamment Ce qu’il ne faut pas dire de Marquise Lepage (2015), et Dire de Geneviève Sauvé (sélection RVCQ 2017 – Short Corner, Cannes 2017, etc). Certains de ses textes sont publiés dans L’Agenda des Femmes 2015 (chez Remue-ménages), et dans le recueil Larguer les amours chez Tête Première (2017). Sa pièce La nuit, la vigie fût crée à la Maison Théâtre en janvier 2018 et publiée chez Dramaturge, et elle a incarné Mélanie dans Mélanie sans extasy (première création de la cie Le Choix de la Présidente), sur la scène du Théâtre Prospero, au printemps 2018 également. Co-créatrice de la compagnie LES COMPAGNONS BAROQUES avec Catherine Paquin Béchard, elle crée le projet La gardienne (2015 à 2017) et le laboratoire L’amour au 21e siècle (selon Wikihow), qui sera présenté dans sa version finale sur une scène montréalaise sous peu. Passionnée de comédie, elle fait partie de 2013 à 2017 du groupe Les femmelettes, où l’on explore l’humour au féminin, et reprend l’improvisation notamment avec la ligue des Cravates et avec le projet Stakiltour, après une immersion à Second City à Chicago.

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AUDREY VERNON (autrice de la version originale)

Après des études de Théâtre classique, Audrey Vernon est repérée par Dominique Farrugia qui l’engage pour une pastille en direct sur CANAL+ intitulée « La séance au choix ». En septembre 2005, CANAL+ lui confie un programme court, « Une minute quotidienne » sur CANAL+ décalé qui durera jusqu’en 2013. C’est en 2009, qu’elle commence à s’intéresser à l’économie et à écrire un « one woman-show économique » sur l’explosion des inégalités : Comment épouser un milliardaire, qui sera joué plus de 500 fois et durera 10 ans. En 2015 le texte est publié par FAYARD et traduit en 6 langues. Il est joué en Belgique, en Italie, en Corée et sera joué au Québec par Michelle Parent. Depuis avril 2019, il est interprété en France dans une version réactualisée par Giorgia Sinicorni qui reprend la tournée française dans une nouvelle mise en scène de Mikael Chirinian. En juillet 2012, Audrey crée au Festival d’Avignon Marx & Jenny, spectacle sur l’œuvre de Karl Marx et sa correspondance avec Engels, joué plus de 200 fois et toujours en tournée. En 2013 elle inaugure le théâtre de la Nouvelle Seine à Paris. En 2014 elle y crée un autre spectacle : Chagrin d’amour, autour du deuil et des ruptures amoureuses, mis en scène par Vincent Dedienne. En mai 2015, Audrey Vernon monte son nouveau spectacle Fukushima work in progres joué avec Xavier Mathieu à la demande de l’Avant Seine, théâtre de Colombes, mis en scène par Olivier Broda. A partir d’août 2016, elle présente «Le Billet d’Audrey Vernon» intitulé L’homme de ma vie… dans le Cinq-sept de France Inter autour de l’économie et des milliardaires, pendant 9 mois. En janvier 2018, elle écrit une lecture autour des textes d’écologie radicale jouée par 13 comédiens, à La Maison des Métallos, en collaboration avec Hervé Kempf et le site Reporterre. Cette lecture est depuis disponible à la reprise en open source et a été jouée par plusieurs troupes en France et à l’étranger. En mai 2019, elle crée un nouveau seul en scène, Billion dollar baby, lettre ouverte à mon bébé à naitre, présenté à Avignon et en tournée à partir de janvier 2020.

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MARIE-EVE ARCHAMBAULT (conception artistique)

Diplômée de L’École de danse contemporaine de Montréal en 2011, Marie-Eve Archambault danse depuis son plus jeune âge. C’est durant sa formation qu’elle découvre le métier de directrice des répétitions et décèlera rapidement en elle les prédispositions et l’intérêt nécessaires à ce métier. Elle occupera ce rôle dès les premiers projets professionnels auxquels elle participe, que ce soit pour la danse ou pour le théâtre (La Grande Fente – Isabelle Boulanger, Geneviève Carron-Ferron, Audrey Rochette, Mille Chevaux Vapeurs – Hugo Dalfond & Joanie Roy, Mathieu Hébert) s’intéressant particulièrement à la justesse de l’interprétation, à l’éloquence du corps en mouvement, à la précision musicale ainsi qu’à l’accompagnement du créateur et de l’interprète, du processus créatif à la représentation. Son parcours la mènera éventuellement à travailler plutôt dans le milieu théâtral en assistance à la mise en scène et à la dramaturgie, à la direction des répétitions ainsi qu’à l’accompagnement chorégraphique (Les Bienheureux – Pirata Théâtre, Album de finissants – Pirata Théâtre & Matériaux Composites, Home Dépôt : un musée du périssable – Matériaux Composites, L’amour au XXIe siècle selon  Wikipédia – All In Théâtre, Le clone est triste – Théâtre du Futur) et également à titre de chorégraphe (Amsterdam – Maison Corbeau, Le Scriptarium – Théâtre Le Clou, Clotaire Rapaille L’opéra rock – Théâtre du futur). Au fil des années, elle se spécialise dans la direction et la formation de « non-danseur·euse·s » et/ou « non-comédien·ne·s » dans le cadre de créations, productions et représentations professionnelles.

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SAMUEL THÉRIAULT (direction technique et projections)

Depuis maintenant plus de 15 ans, Samuel Thériault œuvre professionnellement dans le milieu du spectacle, principalement en danse et pour des événements corporatifs. Il concentre son travail sur la direction technique et la vidéo. Il a dirigé en tant que directeur technique autant pour la création que pour la tournée de multiples projets qui ont été présentés au Canada et à l’international. La variété de ses compétences lui permette de collaborer sur des projets de spectacles scéniques, des performances in situ, ainsi que des installations permanentes, muséales et théâtrales.

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JULIE ANGE BRETON (scénographie et accessoires)

Diplômée en 2008 en scénographie à l’UQAM, Julie-Ange Breton a conçu les décors et les accessoires pour une quinzaine de productions théâtrales dont Dominion et La guerre du Théâtre de la pacotille (m.e.s de Sébastien Dodge), Le Dragon d’Or (m.e.s de Mireille Camier) ainsi que La maison et Les Bienheureux de Pirata Théâtre (m.e.s. de Michelle Parent). Comme accessoiriste elle travaille entre autres pour Les Grands Ballets Canadiens, la Compagnie Marie Chouinard, le Théâtre de l’Avant-Pays et le Théâtre des cascades.

Artiste multidisciplinaire, Julie-Ange s’illustre de plusieurs façons : elle signe la conception visuelle des arrière-plans pour le livre Les desserts de Patrice, publié aux Éditions de l’Homme. Lauréate de la deuxième édition du concours En Façade, organisé par Création Loto-Québec et le Théâtre Espace GO, son œuvre habille la façade du théâtre pour toute la saison 2011-2012. Elle participe à l’exposition extérieure Mon beau sapin avec son installation Forêt présentée dans l’arrondissement du Plateau Mont-Royal à l’hiver 2013.

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ANDRÉANNE DESCHÊNES (lumières)

Andréanne manifeste un intérêt marqué pour la lumière, tant au théâtre qu’en danse. Elle a collaboré avec Cas Public et Hélène Blackburn pendant plus de dix ans, mais également avec Trois Tristes Tigres, Théâtre Quatre/Corps, le Collectif Zeugma, Pierre Lecours, Érika Tremblay-Roy et Le Petit Théâtre de Sherbrooke ainsi que Pirata Théâtre, compagnies pour lesquelles elle a signé plusieurs conceptions lumière. Elle assure également la régie de nombreuses tournées nationales et internationales, dont celles de Cas Public de 2002 à 2013, Virginie Brunelle, Petit Théâtre de Sherbrooke, La [Parenthèse], pour ne nommer que celles-là. Andréanne fait présentement partie des équipes de création du Petit Théâtre de Sherbrooke et du Théâtre du Double Signe à titre de conceptrice d’éclairage et comme directrice de production.

Pirata Théâtre

En tissant des liens entre les gens et entre les arts, en piratant l’art et le réel, nous imaginons des portraits impressionnistes et poétiques de notre époque, de notre société. Provoquant des rencontres inédites, les oeuvres convoquent dans la création et sur scène des présences qui gravitent, dans la vie réelle, en périphérie de la majorité ordinaire. C’est ce point de vue périphérique sur le monde qui distingue l’écriture singulière de Pirata Théâtre depuis maintenant 10 ans.

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La compagnie

Presse

« V. P. «Le texte original était on point, mais très «français» dans sa facture (of course) et dans son humour. Il fallait rendre ça Queb et plausible pour une fille d’ici. Puis, on a aussi nos milliardaires au Québec! Il fallait s’approprier tout ça et retrouver la légèreté de ton.»

«On s’est aussi intéressées à nos milliardaires d’ici. Bon, c’était assez facile, parce qu’au Québec, il n’y en a que douze. Initialement, on devait jouer en mars 2020. Pendant l’année de jachère, on a tout actualisé. Saviez-vous que Vuitton fait maintenant des visières à 900 $ et qu’on peut avoir du gel hydroalcoolique de Chanel?»»

Pour l’entrevue de Michelle Parent et de Véronique Pascal au complet, c’est par ici

 

 

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Pour toute demande média et presse, merci de contacter Marie-Thérèse Traversy, relationniste de presse.

Marie-Thérèse Traversy 
Manigances 
marie@quedesmanigances.com
450-561-5087

Certaines lectures ne seront pas diffusées au public suite aux conditions sanitaires actuelles. Merci de votre compréhension.

Neuf textes inédits trépignent d’impatience à l’idée de rencontrer un public depuis que nous avons reporté le 19e Festival du Jamais Lu en mai dernier. Ces histoires en suspend sont habitées de têtards, de zombies, de squelettes, de petits animaux dévorés, de Véro, de siamois, d’une mère endeuillée, d’une Dette, d’un garçon qui aime porter des robes. Il est grand temps de donner vie, corps et chair à ces images ! 

De janvier à mars 2021, le Jamais Lu accueillera au Théâtre Aux Écuries les artistes de cette 19e édition afin qu’ils puissent replonger dans leurs textes, les mettre en voix et les peaufiner. Ces périodes d’explorations seront ouvertes au public si les conditions le permettent. Autrement, les textes se déploieront sous la forme du laboratoire, ce qui permettra aux auteurs et aux autrices d’aller au plus vif de leur projet. 

Prenons soin des balbutiements de l’écriture théâtrale ! Découvrez les projets de cette programmation en différée.


Encourageons les nouveaux textes afin que nos scènes de demain soient habitées de mots vivants et actuels. 

 


Découvrez ci-bas la programmation en différée.

 

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Cet événement est passé.

Lectures

DES SQUELETTES POUR DÉJEUNER  - 24 janvier - 19h

DES SQUELETTES POUR DÉJEUNER 

Elena Stoodley

Que faire quand son lendemain de veille est en fait un amoureux d’un soir qui ne peut pas franchir la porte par peur de déplaire aux vieux? Et si les vieux voulaient le garder pour déjeuner? Ce repas qui à l’origine devait être un échange de flatteries et vantardises tournera au vinaigre et sera avalé de travers par les hôtes. Mais dévoré par l’invité. Ce dernier jouera au devin pour épater la galerie, mais ne réussira qu’à créer un malaise dû à l’exactitude de ses propos. Une pièce à l’humour cinglant et franc qui expose les masques qu’on porte pour ne plus se voir soi-même.

 

Tout savoir sur le projet

Ne sera pas diffusé au public à cause des conditions sanitaires. 

Texte : Elena Stoodley
Mise en lecture : Elena Stoodley
Interprétation : À venir

 

TÊTARD TOUT AU PLUS - 25 janvier - 19h

TÊTARD TOUT AU PLUS

Maxime Brillon

Depuis les têtards, plus personne ne parle à voix haute au Vieux Verger. Tout le monde émet sa pensée via un système de résonances enfouies. Les têtes se confondent. On en vient à ne plus savoir qui pense quoi. Dans tout ça, il y a Elle, une ex-championne de cyber-sports qui essaie de réorganiser sa mémoire autour de la mort de sa mère, de l’hospitalisation de son grand-père, d’un voisin qui agace avec sa génératrice d’ondes et de l’Autre qu’elle n’arrive qu’à modéliser à son image. Pour faire les différences nécessaires, Elle réapprend tranquillement à parler à voix haute, comme sa mère.

 

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Ne sera pas diffusé au public à cause des conditions sanitaires. 

Texte : Maxime Brillon
Mise en lecture et interprétation : Maxime Brillon, Marie-Ève Groulx
Musiciens : Navet Confit, Carl Matthieu Neher

 

ZOMBIE PRINCE.SSE.S  - 7 février - 19h

ZOMBIE PRINCE.SSE.S 

Mario Laframboise

Après avoir laissé son chum et coupé les ponts avec sa meilleure amie, Sophie décide de réaliser son rêve d’enfance, c’est-à-dire devenir photographe. Un an plus tard, un mois avant sa première exposition, elle est en crise existentielle : elle déteste tout ce qu’elle a fait. C’est à ce moment-là qu’elle reçoit un appel de son ex, Charlot, qui est tombé en amour avec une zombie, qui elle, veut le manger. Une épidémie ronge la ville : des zombies se nourrissent de chair fraîche et, la nuit, boivent des shooters et se démembrent sur le plancher de danse. C’est dans cette ambiance de fin du monde que Sophie cherchera, malgré tout, à trouver un moyen de croire en quelque chose.

 

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Ne sera pas diffusé au public à cause des conditions sanitaires. 

TexteMario Laframboise
Mise en lecture : Éric Jean
Interprétation : À venir

TOUS LES PETITS ANIMAUX QUE J'AI DÉVORÉS - 8 février - 19h

TOUS LES PETITS ANIMAUX QUE J’AI DÉVORÉS

Karen Hines

Zoë est serveuse dans le bistro ultramoderne d’une tour à condos pour femmes professionnelles. Ici, les couloirs sont hantés de fantômes d’autrices suicidées. Ce soir, Zoë travaille seule, l’Autre Serveuse ne s’étant pas présentée. C’est le pire shift de sa vie. Sur la terrasse défile une série de personnages déjantées : expertes en sinistres sans scrupules, plagiaires littéraires éhontées et autres femmes de la haute société. Tout à coup, les animaux se mettent à parler… Tous les petits animaux que j’ai dévorés est une comédie noire poético-allégorique qui offre un commentaire moderne sur le néo-libéralisme, le féminisme, l’art, la société de consommation, la précarité et l’espoir.

 

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Texte original : Karen Hines (Alberta)
Traduction : Mishka Lavigne
Mise en lecture : Lisa L’Heureux
Interprétation : À venir

VÉRO ET MOI - 15 février - 19h

VÉRO ET MOI 

Mireille Paris

Véro est partout : à la radio, à la télévision, sur sa chaîne web, sur scène avec son spectacle d’humour, à la une de son magazine, à la tête de sa collection de vêtements, à la barre de sa fondation. Elle propage sa parole, sa marque et son esthétisme en se fondant dans le décor québécois. Mireille, à la barre simplement de sa propre vie, pleine de questions et de doutes, aimerait être Véro. Comment s’approcher du standard de cette icône ? Comment trouver sa place dans un monde où Véro est la voix à suivre ? Construit entre fiction et citations réelles de Véro, cette comédie grinçante questionne la contamination de nos vies par les discours des médias de masse.

 

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Texte : Mireille Paris
Mise en lecture : À venir
Distribution : À venir

LA MÊME BOTTINE - 28 février - 16h

LA MÊME BOTTINE

Marianne Dansereau

Pour éviter d’être séparés le temps d’un été où leurs parents, nouvellement divorcés/remariés, font des plans de vacances différents, AMIE FILLE et AMI GARS consultent LA CHIRURGIENNE pour se faire coudre l’un à l’autre et ne devenir qu’un. Maintenant reliés par le pied habillé d’une seule et gigantesque même bottine, ils passeront l’été dans une colonie de vacances où PAPILLON, ami.e volatile butinant d’une amitié à l’autre, divisera les nouveaux siamois pour les plonger dans un étrange triangle amical.

 

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Texte : Marianne Dansereau
Mise en lecture : Jean-François Guilbault
Interprétation : À venir

 

PINK BOYS AND OLD LADIES - 1er mars - 19h

PINK BOYS AND OLD LADIES

Marie Henry

Comité Paroles croisées* : Amélie Charbonneau, Cloée de Gagné,  Kyrie-Anne Gilbert, Catherine Lapalme, Sandrine Lefebvre, Emma Lepage, Pascale Lévesque,  Rameen Muzaffar, Axel Paquin, Rachel Pelletier, Jade Plante, Arialys Reinoso, Alyssia Sebag, Audrey-Anne Thibault 

*Paroles croisées, ce sont quatorze adolescent∙e∙s réuni∙e∙s en comité de lecture afin de déterminer un∙e lauréat∙e parmi les textes de la francophonie internationale qui leur sont soumis. 

Une coproduction du Théâtre Bluff, soutenue par le Consulat général de France, le gouvernement du Québec, la ville de Laval et Énergir.

 

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Texte : Marie Henry
Mise en lecture : Frédéric Dubois

 

LA CHAÎNE ALIMENTAIRE - 7 mars - 19h

LA CHAÎNE ALIMENTAIRE 

Lauren Hartley

Une tragédie frappe : tout le monde est donc ben désolé.

Un miracle survient : tout le monde trouve ça donc ben extraordinaire.



Quand on rend à Kate et à sa famille ce qu’on leur a volé il y a plus de 10 ans, c’est l’arrivée du cadeau que plus personne n’attendait.

Mais il est là.

Il est là.

Et Kate ne veut plus qu’une seule chose : le garder pour elle.

 

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Texte : Lauren Hartley
Mise en lecture : Lauren Hartley
Interprétation : Olivier Arteau, Blanche Gionnet-Lavigne, Marie-Hélène Lalande, Christian Michaud, Antoine Paré-Poirier, Linda Plante, Sarah Villeneuve-Desjardins

 

L'ACQUITTEMENT - 17 mars - 19h

L’ACQUITTEMENT 

Dany Boudreault

En mai prochain, Dany aura entièrement acquitté sa dette d’études qui s’élevait à 53 000 dollars. Sous forme de happening ludique où il sera question de la valeur de l’éducation dans notre société, cette soirée permettra à Dany de dire adieu à sa dette et d’évaluer les traces qu’elle a laissées en lui.

À la fois autobiographique, fictionnel et pamphlétaire, L’acquittement visite ces épisodes de la vie où notre dignité chancelle pour parvenir à s’instruire et à changer de classe sociale. Accompagné de ses acolytes Sophie Cadieux, Maxime Carbonneau et Emmanuel Schwartz, Dany explore ici les avenues d’une fiction comptable : que serait-il devenu sans sa dette ? Aurait-il eu le même destin ?

 

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Texte : Dany Boudreault
Mise en lecture : Maxime Carbonneau
Interprétation : Dany Boudreault, Sophie Cadieux, Emmanuel Schwartz 
et des invité·e·s surprises.

 

Mots éditorial - FANTASMER NOS MÉTAMORPHOSES -

FANTASMER NOS MÉTAMORPHOSES
Mot éditorial

 

Fantasmer nos métamorphoses
L’époque est angoissée, nous le savons
Des fins du monde sont annoncées
d’autres se concrétisent abruptement…

Et maintenant ?

Lucides et conscient.e.s, choisissons le fantasme
Écrivons des pages et des pages de fiction
Créons des espaces étranges et improbables,
Imaginons d’impensables rêves réalistes

Jouons avec notre chair
cette matière fantasque
et métamorphosons-nous
(l’ère du temps suivra)

Devant la friabilité du vivant,
L’utopie peut sembler une arme illusoire
Ridicule, même, devant l’inéluctable.
Mais tout aussi inexorablement,

Nous rêvons ;
Nous fantasmons ;
Nous fabullons ;
Nous sommes cette espèce qui ne cesse de se raconter à elle-même ;
pour échapper à l’évidence sclérosée
pour s’émanciper de lendemains moroses.

L’imagination est-elle en voie d’extinction ?
Inventons une réponse vive à cette question
Abolissons l’aseptisation des envies.
Inventons l’odeur du fushia,
le goût des phéromones
et la texture de l’oxygène.

Épluchons-nous,
retrouvons-nous sans la pelure
pour atteindre les noyaux brûlants
en attendant la prochaine fête (qui sera incendiaire!)

L’imaginaire inscrit dans la lymphe,
les mots comme de l’engrais,
fertilisons de nouvelles pulsions
pour sur-vivre, toujours plus férocement.
pour faire sens (dans le sens de sensation).

Inventons de nouveaux rituels, des débuts inédits,
des histoires dont nous ne sommes pas les héros.

Ce 19e Festival du Jamais Lu
Est un appel à façonner l’intangible, à creuser à la moëlle du désir
S’assumer dadaïstes et imparfaits, instinctifs et charnels.

 

Les auteurs et autrices de cette nouvelle édition
sont des stimulateurs de chaos
qui cherchent à annihiler le tangible.
Ils convoquent le para-normal, l’invisible
les zombies, l’endettement, le sublime banal.

On vous invite à se retrouver (de l’autre bord)
pas d’tabous
pas d’Wifi
(pas d’Purel).

La langue
dans l’champs d’papayes
le coeur sur une plage nudiste
et l’cerveau en feux de bengale.
Se rêver les sens à l’air
pas d’barrière
pas d’patron

Pour ce 19e Festival du Jamais Lu
Les licornes sont le socle de notre réel inventé
Les limites de l’humain nous embêtent

Il est grand temps de générer de nouveaux vivants
et prendre soin de nos cocos sur le presto !

Votre dévouée et exaltée cellule artistique du Jamais Lu

Olivier Arteau
Fanny Brossard-Charbonneau
Marcelle Dubois