GRANDE PREMIÈRE !

Par : le Théâtre de la Pire Espèce

Dans le cadre du Festival de Casteliers 

Pour : adultes et adolescent·e·s à partir de 12 ans

Durée : 85 minutes

Langue : en français

 

Tarifs : 

Adultes (13 ans et +) : 28 $     

Réduit* : 25 $   

Tarif réduit : Membres AQM, étudiant·e·s, aînés 65 ans et +

Lieu: L'Arène

Cet événement est passé.

Sur les routes d’une Amérique imaginaire des années 50, Jimmy Jones Jr. nous raconte les histoires et déboires de son père, homme peu ordinaire. On y retrouve avec nostalgie les diners, les car-wash et les cinés-parcs, mais aussi des champs qui s’étendent à perte de vue. C’est un road-trip qui nous plonge dans un univers décalé, absurde et plein d’humour où, dans l’ombre de son père, Jimmy tente maladroitement de s’affranchir de ce modèle masculin étouffant.

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« Mon père c’était pas un gars ordinaire. Y était fait solide comme un truck.
Reluisant pis fier, y était fait en fer ! » 
– Jimmy Jones Jr

Crédits

Texte : Francis Monty

Création et distribution : Francis Monty et Alexandre Leroux

Conception des objets et des costumes : Julie Vallée-Léger

Collaboration à la création : Antoine Laprise et Antonia Leney-Granger

Assistance à la mise en scène : Martine Richard, Jonathan Cusson et Julie Brosseau-Doré

Conseils dramaturgiques : Jonathan Cusson

Idéation du personnage de Jimmy Jones : Pier Porcheron

Direction de production et technique : Vanessa Beaupré

Production : Théâtre de la Pire Espèce

Remerciements

Le Théâtre de la Pire Espèce remercie le Conseil des arts du Canada, le Conseil des arts et des lettres du Québec et le Conseil des arts de Montréal pour leur soutien.

À propos du Théâtre de La Pire Espèce

Depuis 1999, le Théâtre de la Pire Espèce emprunte ses techniques à différentes disciplines telles que la marionnette, le théâtre d’objets, le clown, le cabaret et le théâtre de rue. La compagnie s’applique à développer, en explorant le processus de création, un art vivant, novateur et accessible. Contournant l’illusion théâtrale, elle souhaite établir un rapport direct avec le public, au profit d’une complicité avec le spectateur. Impertinent, festif et accidentellement érudit, son théâtre allie matériaux bruts et imagination débridée, foisonnement baroque et précision chirurgicale.

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À propos du Festival de Casteliers

Fondé en 2005, Casteliers est un diffuseur spécialisé en théâtre voué aux arts de la marionnette. Casteliers organise un festival international annuel, Le Festival de Casteliers, et une saison de programmation. Casteliers s’adresse tant aux enfants qu’aux adultes et propose des spectacles de formes traditionnelles ou contemporaines, témoignages de la richesse du passé et de la pluralité des créations nouvelles qui s’en inspirent.

La 17e édition du Festival de Casteliers sera présentée du 2 au 6 mars 2022. 

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Presse

Pour toute demande média et presse, merci de contacter Isabelle Bleau, relationniste de presse :
isabelle.bleau@bellnet.ca
Tel : 514 933-2523 / cell: 514 992-8319

Lieu: Espace -1

Cet événement est passé.

Cette résidence a pour objet le démarrage ou la poursuite d’une œuvre en théâtre ou en nouvelles pratiques artistiques dans les studios de la Maison du Conseil des arts de Montréal et ceux du Théâtre Aux Écuries.

Elle vise à répondre aux enjeux et besoins des artistes montréalais.e.s issu.e.s de la diversité culturelle en leur offrant des conditions de création stimulante. Elle s’adresse aux collectifs d’artistes issus de la diversité culturelle ainsi qu’aux organismes de la diversité incorporés depuis 7 ans ou moins. L’organisme ou le collectif choisi recevra des cachets artistiques, l’accès à des studios de création de qualité, un accompagnement professionnel artistique ou en gestion, des opportunités de réseautage de même que l’occasion de créer du matériel audiovisuel promotionnel.

 

Lieu: L'Arène

Cet événement est passé.

Par l’aspect percussif et rythmique des pieds, la gigue québécoise et le flamenco ont des affinités naturelles. Tributaires des soirées d’improvisations depuis 2018, de nombreux  interprètes des deux pratiques ont partagé des moments de créations spontanées décoiffants. Voici enfin le tournoi avec quatre équipes mixtes. Deux demi-finales. Une finale. L’apothéose!

 

BIGICO

Depuis 2005, la BIGICO est un diffuseur spécialisé qui soutient et orchestre le développement du mouvement de la gigue contemporaine.

Au sein du milieu de la danse au Québec, les opportunités de diffusion pour les artistes du mouvement de la gigue contemporaine demeurent limitées, étant donné la niche spécialisée de cette pratique. La BIGICO se doit d’assumer également un chapeau de producteur, en organisant divers événements récurrents, en vue de diffuser adéquatement les créations des artistes : Biennale de gigue contemporaine, OFF BIGICO, Soirée d’improvisation giguée, Gigue in the dark, Séminaire chorégraphique. Ce nouveau modèle de fonctionnement, d’un diffuseur qui agit à titre de producteur, est tributaire d’une volonté indéfectible d’assurer la viabilité d’un marché professionnel qui aspire à se développer de manière saine et ambitieuse.

La BIGICO crée des opportunités uniques de faire valoir sur la place publique l’inventivité d’une société de gigueurs en pleine effervescence. La BIGICO met donc de l’avant la collégialité en regroupant des créateurs contemporains, chorégraphes et interprètes, qui s’expriment pour que la gigue soit vivante, vibrante et percutante en ce XXIe siècle. Elle rassemble plusieurs visions chorégraphiques assurant la vitalité d’un mouvement en constante mutation. Une gigue d’art, constamment régénérée, sous l’emprise de la recherche, dans un vif esprit de modernisation.

La BIGICO joue un rôle d’ambassadeur pour faire redécouvrir toute la richesse qui émane de ce fleuron de notre patrimoine. Cette langue des pieds nous appartient encore, une langue commune qui fait courir le bruit de sa pertinence dans la société québécoise d’aujourd’hui.

Plus d’infos à venir durant le mois de septembre. 

Lieu: L'Arène

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Chorus se veut un travail de création chorégraphique de gigue contemporaine de Jonathan C. Rousseau basé sur l’improvisation giguée impliquant trois gigueurs et gigueuses ainsi que deuxmusiciens. 

Le projet s’inscrit dans la continuité de la démarche artistique du chorégraphe qui explore les différentes façons dont on peut utiliser l’improvisation en gigue comme moteur de création, le tout en relation avec la musique et, par le fait même, avec le musicien.

BIGICO

Depuis 2005, la BIGICO est un diffuseur spécialisé qui soutient et orchestre le développement du mouvement de la gigue contemporaine.

Au sein du milieu de la danse au Québec, les opportunités de diffusion pour les artistes du mouvement de la gigue contemporaine demeurent limitées, étant donné la niche spécialisée de cette pratique. La BIGICO se doit d’assumer également un chapeau de producteur, en organisant divers événements récurrents, en vue de diffuser adéquatement les créations des artistes : Biennale de gigue contemporaine, OFF BIGICO, Soirée d’improvisation giguée, Gigue in the dark, Séminaire chorégraphique. Ce nouveau modèle de fonctionnement, d’un diffuseur qui agit à titre de producteur, est tributaire d’une volonté indéfectible d’assurer la viabilité d’un marché professionnel qui aspire à se développer de manière saine et ambitieuse.

La BIGICO crée des opportunités uniques de faire valoir sur la place publique l’inventivité d’une société de gigueurs en pleine effervescence. La BIGICO met donc de l’avant la collégialité en regroupant des créateurs contemporains, chorégraphes et interprètes, qui s’expriment pour que la gigue soit vivante, vibrante et percutante en ce XXIe siècle. Elle rassemble plusieurs visions chorégraphiques assurant la vitalité d’un mouvement en constante mutation. Une gigue d’art, constamment régénérée, sous l’emprise de la recherche, dans un vif esprit de modernisation.

La BIGICO joue un rôle d’ambassadeur pour faire redécouvrir toute la richesse qui émane de ce fleuron de notre patrimoine. Cette langue des pieds nous appartient encore, une langue commune qui fait courir le bruit de sa pertinence dans la société québécoise d’aujourd’hui.

Crédits

Interprètes :
Nikolas Benoit-Ratelle
Rachel Carignan
Mélody Clermont
François-Xavier Dueymes
Mélina Mauger-Lavigne
Jonathan C. Rousseau
Crédit photo : Valérie Sangin, avec Jonathan C. Rousseau

Les finissant·e·s en théâtre du Cégep St-Hyacinthe profiteront du Théâtre aux Écuries pour vivre une expérience pédagogique, à l’extérieur de leur lieu de création.

Comment : en présence

Durée : 1h20

Horaires : 19h30

Tarif unique : 20$

Lieu: L'Arène

Cet événement est passé.

Un grand cirque pas ordinaire doublé d’une splendide œuvre chorale ! Voilà ce à quoi vous convient les finissant·e·s en «Interprétation théâtrale» et en «Théâtre – Production» de l’École de théâtre du Cégep de Saint-Hyacinthe.
Le Cimetière de l’éléphante, de l’auteur américain George Brant, dans une mise en scène de Jean-François Guilbault, prend appui sur l’histoire tragique et vraie de la pendaison d’une gigantesque éléphante d’Asie à une grue, après avoir écrasé la tête d’un employé du cirque. Nous sommes en 1916, dans un cirque d’une petite ville du Tennessee où les lynchages sont fréquents. Et les animaux n’en sont pas les seules victimes. Sous la forme d’un poème choral, qui réunit villageois·es et circassien·ne·s, de multiples voix s’accordent pour une réflexion sur le thème du bien et du mal, et de nos responsabilités humaines et sociales.

Crédits

Texte : George Brant

Mise en scène : Jean-François Guilbault

Dramaturgie : Yohayna Hernandez

Interprétation : Joseph Asselin, Charlène Beaubien, Olivier Charron, Émile Dufour, Pénélope Ducharme, Catherine Gauthier Gonzalez, Charbel Hachem, Roxane Lavoie, Ophélie Anna Morin, Marguerite Picard, Thomas Richer

Décor : Laurie Desrochers, Myriam Desrosiers, Yeelen Stanislas

Costumes : Claudelle Dextraze, Marc-Antoine Roux

Conception d’accessoires : Lili Benko 

Accessoires : Lindsay Marbach, Victoire Nativel, Sarah-Ève Tétreault

Éclairages : Frédérick Bélanger

Assistance à la mise en scène et son : Kyllian Mahieu

Direction de production et technique : Britanie Thibault

Coachs en interprétation : Olivier Aubry, Frédérique Bédard et Julie Choquette

Coachs en production : Simon Bellefleur, Étienne Boucher-Cazabone, Guy Côté, Marc-André Coulombe, Léon Perreault, Marie-Claude Pion, Anne-Marie Rodrigue Lecours

Coordination de Théâtre-production : Simon Gauthier et Anne Plamondon 

Coordination Interprétation théâtrale : Luce Pelletier

Par : LA SERRE – arts vivants

Comment : en présence

Durée : 2h30

Pour : tout public

Horaires

Vendredi : 20h

Samedi – dimanche : 15h et 20h

Tarifs : 

Régulier : 28$

Réduit : 17$ – 25$ (détails en billetterie)

#VEIYAH2021

Lieu: L'Arène

Cet événement est passé.

Ayant vécu une fin de parcours scolaire fragilisé par les circonstances pandémiques, une trentaine de diplômé·e·s en arts vivants sont invités par LA SERRE – arts vivants à prendre d’assaut les différents espaces du Théâtre Aux Écuries pour y jeter les bases d’un projet et interroger leur démarche artistique. Au terme d’une semaine de résidence intensive, chaque groupe d’artistes sera amené à concevoir et à présenter une courte performance lors d’une fin de semaine festive. C’est l’occasion tout indiquée pour découvrir ce qui anime la relève en arts vivants !

↓ Les 8 projets sont disponibles juste là, plus bas ↓

 

 

Le public est invité dans l’Arène du Théâtre Aux Écuries pour découvrir huit courtes formes de 10 minutes chacune.

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Cette année seront accueilli·e·s des finissant·e·s de 7 établissements d’enseignement:

  • Collège Lionel-Groulx
  • Conservatoire de musique et d’art dramatique du Québec
  • École de danse contemporaine de Montréal
  • École supérieure de théâtre de l’UQAM
  • École nationale de cirque
  • École nationale de théâtre du Canada
  • Université Concordia

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 VOUS ÊTES ICI est un événement produit par La SERRE – arts vivants en partenariat avec le Théâtre Aux Écuries. 

 Une présentation de la Caisse Desjardins de la Culture

 

 

Avec le soutien de:

 

LA SERRE – arts vivants remercie le Conseil des arts et des lettres du Québec de son appui financier.

 

Les projets

NOTHING HAPPENS BUT HER

Mathilde K. Richer
Andrea Ramírez Falcón

École nationale de cirque

BIOS

Joannie Vignola
Catherine Alepin
Mathilde Boudreau
Sarah Godard
Marie-Pier Jacques
Zachary Noël-Ferland

École supérieure de théâtre de l’UQAM

ÊTRE LE FRÈRE DE MÉLISSA

Matthew Bernier-Hudanish
Mélissa Bernier-Hudanish
Laurence Laprise
Manon Pocq-Saint-Joan

École supérieure de théâtre de l’UQAM

CONJURATIONS

Myriam Le Ber Assiani
Antoine Racine

École supérieure de théâtre de l’UQAM + Université Concordia

FRAIS


Nikita Peruzzini
Léonie Bélanger
Lou Amsellem
Philippe Dépelteau
Laurent Déry
Sabrina Dupuis
Raphaël Samson

École de danse contemporaine de Montréal + Département de Danse de l’UQAM

THE TIME PEDDLER

Tiffanie Boffa
Abi Stushnoff

Université Concordia

TA MAISON, JE M'Y DÉPOSE

Delphine Bertrand
Maryanna Chan
Janie Faucher-Roy

École nationale de théâtre du Canada + Conservatoire de musique et d’art dramatique du Québec

PAYÉE CASH

Joey Arsenault-Cloutier
Xavier Duranceau
Cloé Gélinas Dupont
Rose-Anne Girard
Catherine Huard
Sacha Rancourt

Collège Lionel-Groulx

À propos

LA SERRE – arts vivants

Parce qu’elle croit que l’art est essentiel pour lier l’individu à sa communauté, LA SERRE – arts vivants est un pôle de création qui provoque des rencontres et qui met à la disposition des artistes émergents des environnements favorables à la création d’œuvres significatives ainsi qu’à leur rayonnement.

LA SERRE est un incubateur structurant pour l’amélioration des conditions d’exercice des artistes émergents en arts vivants. Elle les accompagne dans le déploiement de leurs œuvres à partir de l’idéation jusqu’à leurs rencontres avec les publics. Elle aide l’artiste à développer son autonomie, sa maturité organisationnelle et son indépendance artistique. LA SERRE agit comme activateur de collaborations entre les artistes et les différents partenaires locaux, nationaux et internationaux ainsi qu’entre les artistes de différentes disciplines artistiques et d’autres secteurs d’activités. Artistiquement, LA SERRE privilégie des projets qui tissent des liens évocateurs entre les arts et la société et qui favorisent la rencontre entre les différents champs disciplinaires et sectoriels. Le mandat de LA SERRE se déploie en trois axes d’activités : Artistes, Événements et Ateliers. Pour plus de renseignements : laserre.ca.

Site internet
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Crédits

Catherine Alepin, Lou Amsellem, Joey Arsenault-Cloutier, Léonie Bélanger, Matthew Bernier-Hudanish, Delphine Bertrand, Tiffanie Boffa, Mathilde Boudreau, Maryanna Chan, Philippe Dépelteau, Laurent Déry, Sabrina Dupuis, Xavier Duranceau, Janie Faucher-Roy, Cloé Gélinas Dupont, Rose-Anne Girard, Sarah Godard, Marie-Pier Jacques, Mathilde K. Richer, Laurence Laprise, Myriam Le Ber Assiani, Zachary Noël-Ferland, Nikita Peruzzini, Manon Pocq-Saint-Joan, Antoine Racine, Andrea Ramírez Falcón, Sacha Rancourt, Abigail Stushnoff, Joannie Vignola, Evelynn Yan

 

Crédit photos : © Charles-Olivier Bourque

Comment :

en présence à 14h

Tarifs : 

Présence : 15$

Événement Facebook

Avec :

Claudine Robillard et Maxime Mompérousse

Durée :

50minutes

Lieu: Café

Cet événement est passé.

Le Club de lecture est une invitation aux familles à venir découvrir quelques joyaux de notre littérature jeunesse québécoise. Marcelle Dubois, l’autrice invitée, sera aux côtés de la comédienne Claudine Robillard et du comédien Maxime Mompérousse qui interprèteront son texte Cadeau : ce qui me reste de toi.

La scène est un terrain de jeu où Fille et Garçon vivent les moments précieux où ils ont reçu leurs mots-cadeaux. Des mots comme des outils pour comprendre, pour vivre, pour se souvenir. Spontanés, vifs, tendres, intelligents, ils font de ces cadeaux inattendus des prises pour monter au sommet de leur imaginaire. Des mots reçus par leurs parents. Leurs ami·e·s. Leur culture. Leur époque. Fille et Garçon les collectionnent avidement ces mots-cadeaux. Ils seront ce qu’il restera de leur enfance une fois qu’ils seront grands. Ces mots précieusement offerts, farouchement glanés, leur permettent de nommer —peut-être même de changer!— le vaste monde qui leur appartient un peu plus chaque jour…

Ce Club est offert en présence pour les 4 à 10 ans.

 

À propos de l'autrice, Marcelle Dubois

À la suite d’études en Lettres-Art dramatique au Cégep Lionel- Groulx et en Création littéraire à l’UQAM, Marcelle Dubois fonde sa compagnie de théâtre les Porteuses d’Aromates en 2000. C’est sous cette enseigne qu’en tant qu’autrice et metteuse en scène qu’elle signe En vie de femmes (2000) et Condamnée à aimer la vie (2003). Son texte, Amour et Protubérances, fable pour bouffons, mis en scène par Jacques Laroche, fut produit à Premier Acte à Québec et à La Petite Licorne à Montréal en 2004-2005. Jam Pack, quant à lui est présenté au Théâtre d’Aujourd’hui en novembre 2008. Son texte, Œuvre de destruction a été lu au Festival du Jamais Lu en 2007 et au Centre Georges Pompidou en France en 2008.

En 2011, elle met en scène l’aventure dramaturgique Correspondances, rester ou partir?, qui questionne l’appartenance au territoire et réunie une autrice Québécoise (Evelyne de la Chenelière), une autrice libanaise (Carole Ammoun) et un auteur belge (Olivier Coyette). Pour la production de son texte Habiter les terres en 2016 elle retrouve son complice à la mise en scène Jacques Laroche. Le spectacle connaît une belle diffusion à Montréal, en Abitibi-Témiscamingue et en France. Puis, en 2017, elle poursuit son exploration du territoire avec Habiter Villeray un docu-fiction qui résonne fort au Théâtre Aux Écuries. Elle écrit également pour le jeune public : Le dragon de bois, présenté à la 20e semaine de la dramaturgie du CEAD. La Ville en rouge, qui est coproduit par le Théâtre du Gros mécano et Populus Mordicus est joué plus de cent fois partout au Québec entre 2012 et 2016. En 2019 elle revient à ses amours de jeune public et écrit Cadeau : ce qui me reste de toi, en étroite collaboration avec la metteuse en scène Véronique Côté. Le texte est produit dès 2020 par le Théâtre des Confettis.

Co-fondatrice du Festival du Jamais Lu, elle en assure la direction artistique et générale depuis 2001. Elle participe également à la réalisation de Carte Premières, un outil de promotion desservant la relève théâtrale. Puis, en 2011, avec six collègues fougueux, elle cofonde le Théâtre Aux Écuries, dont elle assure depuis le début la codirection artistique… et depuis peu la direction générale.

Lectures réalisées par l’autrice : Annie Bacon

Animé par : Sylvie Pouliot

Comment :

en virtuel à 11h

en présence à 14h

Tarifs : 

Virtuel : 10$

Présence : 15$

Événement Facebook

 

 

Cet événement est passé.

Le Club de lecture est une invitation aux familles à venir découvrir quelques joyaux de notre littérature jeunesse québécoise. L‘autrice invitée, Annie Bacon, interprétera les trois histoires de son album la Légende de Paul Thibault, pour le plaisir de vos petit·e·s.

Écrit entièrement en vers, les aventures de ce coureur des bois se prêtent particulièrement bien à la lecture à haute voix. Laissez-vous porter par le rythme à la fois poétique et endiablé des rencontres entre Paul et les étranges créatures d’une forêt boréale imaginaire.

Les clubs sont offerts en présentiel et en virtuel pour les 4 à 12 ans.

Livre lu : 

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Histoire 1 : L’épinette de la colline

Lorsqu’une épinette à tentacule terrorise les animaux de la région, Paul n’hésite pas une seconde et fonce tête baissée !   

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Histoire 2 : Pique-nique sur feuilles mortes

Un paisible pique-nique entre amis se transforme en épique combat contre un golem de feuilles mortes. Heureusement, Paul est bien épaulé et connait le secret de son adversaire. 

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Histoire 3 : Sur la piste du siffleux

Paul et son ami Grugeux le castor ont fait des provisions pour l’hivers. Ils ne savent pas qu’ils se sont installés près de la tanière du siffleux, un incorrigible voleur qui refuse de les laisser tranquille. 

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Annie Bacon

On plonge dans les livres d’Annie Bacon comme Alice dans le trou du lapin. Les univers qu’elle crée se démarquent par leur originalité et un sens du merveilleux qui brouille les limites entre imaginaire et réel. Bachelière en communications, elle a fait ses premières armes dans l’industrie de l’interactif, notamment en jeu vidéo.

Si elle s’est d’abord fait connaître par la série Victor Cordi(8 tomes) chez Courte Échelle, c’est le roman Chroniques post-apocalyptiques d’une enfant sage qui ont officialisé son importance dans le décors littéraire jeunesse québécois.

Crédit photo : Elizabeth Delage

Par : Les Filministes en collaboration avec le Festival Accès Asie

Comment : en présence au Théâtre Aux Écuries (en extérieur)

Quand : 2 septembre 2021 (remis au 3 septembre en cas de pluie)

Horaire : 19h30

Invité·e·s : André-Anne Côté et Ange Guo

Films présentés : Midland (Kim Sanh Chau), Like the Flow of a River (Natalie Murao), Not your Panda (Tigris Alt Sagda), Adoption, 30 ans après (kimura byol), No Crying at the Dinner Table (Carol Nguyen)

Tarif : Gratuit sur réservation

Cet événement est passé.

Le Festival Filministes, en collaboration avec le Festival Accès Asie, propose d’aller à la rencontre des citoyen·ne·s par le biais du cinéma, avec une programmation qui célèbre la culture et les réalités des communautés asiatiques québécoises et canadiennes, durement touchées par des actes racistes depuis le début de la pandémie. Le Festival Filministes souhaite créer un espace de rencontre qui montre la richesse et la complexité du patrimoine asiatique par l’entremise de cinq courts métrages. Abordant les relations familiales, le racisme anti-asiatique, l’adoption internationale et l’immigration de première et de deuxième générations, cet événement mettra de l’avant le regard cinématographique et artistique de réalisatrices de talent. 

En réaction à la montée du racisme anti-asiatique depuis le début de la pandémie, le Festival Filministes souhaite créer un événement rassembleur qui célèbre la pluralité, la beauté et la richesse du patrimoine asiatique.

Cinq courts métrages seront présentés dans trois quartiers montréalais et seront suivis d’une discussion avec Kim Sanh-Châu, André-Anne Côté et Ange Guo. 

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Midland de Kim Sanh-Châu
2020 | Québec | 7:00 | art et essai | sans dialogue
C’est à l’orée des bois que se croisent des coupoles et des corps. Leurs dialogues inaudibles imprègnent les roches à l’encre mauve. Lueurs de l’aube. Soleil froid. Capter l’impalpable. Danser l’invisible.
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Like the Flow of a River de Natalie Murao
2016 | Canada | 6:24 | fiction | japonais et anglais, sous-titres français (c.c.)
Dans un restaurant, une grand-mère et sa petite fille tentent de se comprendre malgré la barrière linguistique qui les isole l’une de l’autre.
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No Crying at the Dinner Table de Carol Nguyen
2019 | Québec | 15:00 | documentaire | vietnamien et anglais, sous-titres français (c.c.)
Dans ce documentaire poignant, la cinéaste vietnamienne-canadienne Carol Nguyen interroge sa propre famille afin de dresser un portrait émotionnellement complexe des traumatismes intergénérationnels, du deuil et de l’incommunicabilité.
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Adoption, 30 ans après de kimura byol-nathalie lemoine
2020 | Belgique, Corée du Sud | 18:00 | documentaire | français, sous-titres français (c.c.)
Zin (cinéaste) et Zinneke (actrice) sont deux coréen·ne·s adopté·e·s belges. En 1988, elles ont fait ensemble Adoption, un court métrage. Depuis, l’une est restée en Belgique, l’autre est retourné·e peu après en Corée pour y vivre. 30 ans après, Zin amène Zinneke pour la première fois dans leur pays natal.
Réflexions sur l’abandon, les maternités, les racines et le droit de savoir.
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Not Your Panda de Tigris Alt Sakda
2018 | Québec | 5:00 | animation | sans dialogue, sous-titres français (c.c.)
Not Your Panda explore les clichés et la capitalisation de la culture asiatique à partir de l’animal le plus mignon qui soit, l’Ailuropoda melanoleuca.
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* Les événements des Filministes sont des espaces de discussion et de réflexion sur des enjeux féministes contemporains. Nous souhaitons que les opinions de chacun·e·s soient écoutées et respectées, car nous croyons en la diversité des positions féministes. Cependant, nous ne tolérerons aucune prise de parole haineuse ou commentaire qui porte atteinte à l’intégrité des personnes.  
* Le Festival Filministes organise ses événements à Tiohtià:ke / Montréal, respectivement les territoires non cédés de la nation mohawk. C’est dans le respect des liens avec le passé, le présent et l’avenir que nous reconnaissons les relations continues entre les Peuples Autochtones et les allochtones de l’Ile de la Tortue.
* Service d’interprétation LSQ sur place. 

Festival Filministes

Depuis 2015, le Festival Filministes organise à Montréal des discussions sur des enjeux féministes contemporains par le biais de la projection d’œuvres cinématographiques. Le projet se consacre à la diffusion de documentaires, courts-métrages et films de fiction récents. Les discussions réunissent des invité.e.s de divers milieux qui proposent un regard féministe et critique sur ces enjeux.

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Les finissant·e·s en théâtre du Cégep St-Hyacinthe partent en tournée avec leur 3e production ! Ils profiteront de deux jours d’entrée en salle au Théâtre Aux Écuries pour vivre cette expérience pédagogique, à l’extérieur de leur lieu de création. Les représentations ne seront pas publiques.

Lieu: L'Arène

Cet événement est passé.

Les finissant·e·s en théâtre du Cégep St-Hyacinthe partent en tournée avec leur 3e production ! Ils profiteront de deux jours d’entrée en salle au Théâtre Aux Écuries pour vivre cette expérience pédagogique, à l’extérieur de leur lieu de création. Les représentations ne seront pas publiques.

 

 

Dans Ce soir on improvise, on fait semblant d’improviser. Les spectateur·trice·s  deviennent complices des interprètes de cette pièce qui déconstruit le rapport entre l’illusion et la réalité en révélant les ficelles du théâtre à travers une histoire  de désir, de haine et de jalousie. Le texte, adapté en 1994 par Diane Pavlovic  et Claude Poissant, nous amène à Saint-Hyacinthe où une troupe d’interprètes répètent une pièce de Pirandello racontant l’histoire d’une famille italienne typique. Une metteuse en scène tente de garder le contrôle sur le spectacle alors que la troupe ne cesse de remettre son autorité en question. 

 

Prolifique auteur de renommée internationale, Luigi Pirandello (1867-1936) a  reçu le prix Nobel de littérature en 1934. Romancier, nouvelliste et dramaturge,  il a écrit 43 pièces en 20 ans. Ses textes les plus célèbres évoquent le théâtre  dans le théâtre et apportent une réflexion sur le paradoxe et l’absurdité de la vie. 

 

Nicolas Gendron met en scène ce spectacle. Depuis sa formation à l’École de  théâtre professionnel du Collège Lionel-Groulx, d’où il ressort avec une bourse  d’excellence en 2009, il a pris part à une trentaine de productions théâtrales en  tant que comédien, auteur, metteur en scène ou adaptateur. Avec sa compagnie  ExLibris, il signe sa première mise en scène en 2014 avec l’adaptation du  roman Et au pire, on se mariera, de Sophie Bienvenu, qui connaît un vif succès.  C’est avec un grand plaisir que l’École de théâtre du Cégep de Saint-Hyacinthe  l’accueille pour la première fois en ses murs.

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LE PÈRE 
Ch’pas capable de mourir, je les regarde jouer pis ça me donne envie  de rire, pas de mourir. Considérez-moi comme déjà mort pis on n’en  parle pus. 

METTEUSE EN SCÈNE 
Non. Vous parlez, vous jouez la scène, vous mourrez après. 

LE PÈRE 
Parfait. La v’là votre scène. (Il se laisse tomber.) Je suis mort! 

 

Crédits
ÉQUIPE DU SPECTACLE
Habilleuses : Laurie Desrochers, Claudelle Dextraze, Lindsay Marbach et Victoire Nativel 
Machinistes : Enes Ammar, Thomas Aubut, Sarah Benoit, Félix-Antoine Boileau,  Ralph Boissé, Sarah-Maude Boulet, Satiana Boucher Bédard, Laurianne Fecteau Pageau, Justin Lalande, Louis-Philippe Lussier, Jacob Lussier, Félix Lefebvre, Mickaël Paré, Michael Pereira, Heldy Zack Soupraya, Eve Picard et Fabienne Theis  
Régie lumières : Clara Bathalon 
Régie son : Alexandra Morissette 
Régie générale : Karine Massé et Romane Bocquet 
Conception du tableau documentaire : Nicolas Gendron, Raphaëlle Guérin et Marie Perna 

 

RESPONSABLES DE L’ENCADREMENT

 

INTERPRÉTATION 
Techniques vocales et diction : Mélissa Dion Des Landes 
Mouvement : Gabrielle Bertrand-Lehouillier 
Chant : Frédérike Bédard 
Accordéon : Michel-Maxime Legault 

 

PRODUCTION 
Conception du décor et peinture scénique : Cassandre Châtonnier Conception d’éclairage : Anne-Marie Rodrigue Lecours 
Conception d’accessoires et de costumes : Marc-André Coulombe  Conception sonore : Simon Bellefleur 
Direction de production – Assistance à la mise en scène et régie : Guy Côté Direction technique : Leon Perreault 

 

AIDE À LA RÉALISATION DE CETTE PRODUCTION
Soutien technique : Julien Boisvert et Alexandra Dubé-Girard 
Décor : Catherine Fasquelle et Leon Perreault 
Coupe : Marielle Parenteau 
Costumes : Catherine Lemieux-Boyer et Patsy Boulais 
Administration : Anique Bousquet 
Captation : Camion Productions camionproductions.org

À propos de l'école de théâtre du Cégep de Saint-Hyacinthe

À venir

Remerciements

À Robert Laurin pour avoir eu la gentillesse de nous prêter son accordéon pour le spectacle.

À tous les étudiants qui ont participé à la réalisation de ce spectacle.
Au personnel des différents services du Cégep de Saint-Hyacinthe ainsi qu’à tous les autres collaborateurs pour leur continuelle et précieuse implication.
Salutations chaleureuses et reconnaissance toute spéciale à la famille Perna, à commencer par Marianna Bonnasoro, Normand Dupasquier, Angel Perna et Domenico Piazza.

Enfin, toute notre gratitude à Diane Pavlovic et Claude Poissant pour leur précieuse confiance.

Mot du metteur en scène - Nicolas Gendron

Bonsoir cher public, où que vous soyez. 

Le vrai et le faux, en 2021, ont-ils été vidés de leur sens? Allons-nous oublier, à force de nous distancier, comment entrer en contact avec l’autre? Que se cache-t-il dans le hors-cadre de nos écrans, petits et grands? L’art et le théâtre sont-ils des denrées essentielles pour l’âme, à défaut de remplir l’estomac? 

C’est toujours grisant d’entrer en salle de répétition avec mille et une questions, et  d’en ressortir avec quelques réponses, mais surtout mille et une autres questions.  Et pas les mêmes qu’à la ligne de départ. Pirandello, en son temps, a voulu brasser  la cage des codes théâtraux, et depuis, entre la commedia dell’arte, le néoréalisme  italien et l’improvisation sportive de la LNI, notre regard s’est habitué à ces  explorations « sans filet ». Malgré tout, il émane toujours de cette pièce, du moins  à mes yeux, la beauté et la complexité du collectif, le paradoxe artistique mais  aussi humain qu’est celui de savoir créer dans la contrainte, et le concept fuyant et  plus grand que nature de la liberté. Couvre-feu tant que vous voudrez, mais jamais  couvre-flamme! Au passage se profilent les thèmes inusables et insondables de  l’honneur, de l’amour, de la jalousie et de la place de l’art dans nos vies. Il y a pires  combustibles, vous en conviendrez. 

Ce soir, il ne faut donc pas chercher à tout comprendre, car il s’agit bien d’une  histoire trouée. Mais comme le disait le poète au chapeau feutré, tout est dans  la lumière qu’on y laisse entrer. J’imaginais déjà Ce soir on improvise comme le  spectacle des retrouvailles. Mais où que vous soyez, cher public, bondissez avec  nous dans l’arène, car la vie vaut toujours la peine d’être réinventée, bousculée  et… jouée. 

Je n’aurais pas pu espérer mieux, pour ce baptême professoral dans une école  de théâtre, que de côtoyer ces jeunes artistes au talent de feu, aux convictions  profondes et à la solidarité manifeste, sur scène comme en coulisses. Je les  remercie de tout mon cœur de m’avoir fait une place dans leur troupe. Et d’avoir  enduré mes métaphores des plus improvisées! 

Comment on dit, déjà? MERDA! 

« Mesdames et messieurs, le spectacle va enfin commencer… » Nicolas Gendron